1. Un vieux fermier


    Datte: 11/11/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Trixie, Source: Hds

    ... toujours la bienvenue dans mon petit magasin.
    
    — Oui, et je vous remercie de votre accueil.
    
    Je lorgnai sur son entrejambe, sous la toile de sa salopette, une bosse importante descendait sur sa cuisse, il bandait, mais après ce qu'il avait vu c'était plus que normal !
    
    — Il fait chaud aujourd'hui, il vaut mieux être habillé légèrement !
    
    — J'ai retiré le superflu, dis-je en riant.
    
    Lors de mes précédentes visites, je m’étais aperçue, que j’étais loin de le laisser indifférent sur le plan physique. Malgré son âge avancé, il me semblait doté d’un sexe vraiment gros, du moins le subodorai-je, vu la bosse qui se profilait sous son pantalon, lorsqu'il était aguiché. J’avais du m’avouer que sa grosse bite m’excitait au plus au point, et me faisait fantasmer, lui était laid comme un pou. Ma libido était exacerbée car il m’avait déjà fait quelques réflexions assez salaces, même très crues. J’allais à mon tour jouer le jeu de la séduction et on verrait bien ce qui arriverait.
    
    Étant pour l’instant, sa seule cliente, le vieux émoustillé par ce qu’il avait vu lorsque j'étais descendue de la voiture, ne me quittait pas d’une semelle, me tournant autour, me frôlant, pour me vanter les mérites de ses légumes, il osait des comparaisons assez osées.
    
    — Vous avez-vu mes légumes ? Ils sont frais et verts comme moi. Regardez la barbe de ces poireaux, elle est aussi fournie que ma toison pubienne, et ces œufs de cailles, ils sont aussi gros que mes testicules ! Quant à ces ...
    ... courgettes, je crois que mon sexe est plus long et tout aussi large ! Je vois que vous souriez, vous ne me croyez pas. Vous voulez voir ?
    
    Profitant qu’il se mit en face de moi, je me penchai savamment sur un étalage, le haut de ma robe s’écarta laissant apparaître, sciemment, mes deux seins sortant de leur écrin noir.
    
    — Oui, répondis-je, je vois très bien ce que vous voulez dire et je n'en doute pas ! Me donnez-vous la permission de tripoter votre marchandise ? Mais pour cela il faut peut-être vous montrer patte blanche, lui dis-je me penchant encore un peu.
    
    Le regard du paysan plongea dans le décolleté offert, ses yeux enveloppèrent mes courbes gracieuses, malgré moi, mes seins se raffermirent, mes aréoles se hérissèrent, mes tétons durcirent et s’allongèrent, je restai penchée pour bien lui faire profiter du spectacle magnifique. Il eut l’air changé en statue, ne put pas détacher son regard. Je me penchai encore un peu, la robe bailla encore, et sa vue se porta en dessous du porte-jarretelles, je lui laissai deviner mon sexe.
    
    Je décidai alors de passer à un autre stade, un peu plus poussé de mon jeu de séduction. Le hangar était toujours désert. Je me dirigeai vers des cageots inondés de soleil qui étaient rangés par terre, et m’accroupis dans la clarté pour examiner la marchandise. Ainsi positionnée en pleine lumière, il ne pouvait rien manquer de qui allait suivre.
    
    Lorsqu’il me vit me baisser, le vieux fit à toute vitesse le tour de l’étal. Quand il fut à trois ...
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