1. Le petit ami par intérim (3)


    Datte: 11/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Maxy32, Source: Xstory

    ... je peux profiter de toi ! Dit Manu avec passion.
    
    — À moi aussi, ta bouche et tes mains délicates me manquent mon Amour !
    
    — Merci de m’avoir défendue ! A ajouté la jeune fille en posant sa tête sur ma poitrine.
    
    — Je t’en prie, tu as déjà assez souffert, un avortement serait trop pour toi, toi qui es si jeune et qui dois encore profiter de la vie !
    
    Et elle me serra si fort contre elle que je sentit ses mamelons qui étaient durement dressés à travers ma chemise et la sienne !
    
    Un mois passa, malgré sa grossesse, elle suivait toujours ses cours, mais à un rythme plus soutenu. Moi, je travaillais toujours avec l’espoir que ma sœur accouche vite et qu’elle ne porte plus un énorme poids sur l’estomac. Chaque fois que je rentrais, on s’embrassait, mais ce soir, j’eus droit à une surprise. Dès que je frappai à la porte, celle-ci s’ouvrit sur ma sœur qui, visiblement, devait sortir de la douche.
    
    — Tu n’as pas froid, demandai-je en l’embrassant vite fait ?
    
    Elle me répondit par la négative et m’aida à enlever ma veste pour que j’aille me laver. En sortant, elle m’attendit avec un grand sourire sur le canapé. Son énorme ventre souleva sa serviette, ce qui me donnait une vue plongeante sur ses seins.
    
    — Assieds-toi près de moi mon cœur !
    
    Assis, je la serrai contre moi et, sur la serviette, caressai son énorme abdomen. Entre temps, celle-ci était tombée, ...
    ... exhibant au passage sa poitrine. Ses seins étaient plutôt petits, enfin dans une proportion qui me convenait. Elle n’essaya pas de les cacher. Au contraire, je pense qu’elle voulait que je les caresse tout comme son ventre, que je leur porte tout mon amour ! Me voyant inactif, les yeux rivés sur ces monticules de chair, elle prit ma main et la déposa sur l’un de ses globes. Au contact de cette partie de son anatomie à la peau si douce et si tendre, je fermai ma main avec précaution et, délicatement, la massai. Je l’entendis pousser des petits cris, se cambrer.
    
    — Ça va ma Chérie ?
    
    Je posai cette question innocemment. C’était la première fois que je voyais les mamelles de ma sœur. J’en avais déjà vu pas mal dans ma vie, mais jamais de si près, et jamais avec la possibilité de les malaxer à envie !
    
    — Ne pose pas de questions, continue !
    
    Comme elle le voulait, je ne cherchai pas à comprendre et je continuai à jouer avec comme un enfant ! Je les léchai, suçotai, embrassai à plusieurs reprises et je les mordillai. J’entendis son souffle devenir plus bruyant et saccadé !
    
    — Tu me fais du bien Bébé, s’écria-t-elle !
    
    Je la fit s’allonger pour avoir une meilleure vue sur ces monts si délicieux. Je les chérissais tout comme sa bouche et son visage. On aurait pu rester longtemps comme ça, mais je sentis mon sexe gigoter dans ma serviette, il bandait dur comme jamais ! 
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