Ulysse 05
Datte: 11/11/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
Ulysse 05
On a fini par passer sous la douche. Richard ne râlait pas vraiment, il marmonnait dans sa barbe. J'avais l'impression qu'il regrettait déjà son choix. Au moment ou on sortait de la douche on croisait Ulysse, là Richard ne disait plus rien et affichait un large sourire niais !
J'avais un mal fou à me retenir de rigoler.
Une fois habillé on reprenait nos activités habituelles. Les copines à Ulysse sont vraiment adorables, pendant qu'on était sous la douche elle avaient fait le ménage, et je vous jure qu'elles sont efficaces, même à deux.
Pendant les deux semaines qui ont suivies, il fallait régulièrement rappeler à Richard le défi de Mathilde. Elle avait dit '' Aucun contact érotique, même pas un câlin ''. C'était un truc de fou surtout qu'on voyait Ulysse à poil tous les jours, le matin sous la douche, puis en général comme lui il se sentait bien il traînait à poil au petit déjeuner. Il n'était pas souvent seul, on a revu Mathilde plusieurs fois.
Ulysse ne bandait pas pendant ces moments, il n'était pas en manque, sexuellement pas en manque, c'était pas comme nous ! La première semaine passée, Richard et moi avions la tête en feu et les couilles au bord de l'explosion. Le matin c'était le plus dur, on voyait Ulysse se balader à poil et vous savez que le matin on bande bien plus facilement, ça devenait frustrant.
Le pire moment c'était ce dimanche matin. La veille au soir Richard et moi étions sortis boire un verre et on se retrouvait au petit ...
... déjeuner. C'était pas comme en semaine, Ulysse prenait le temps de bien traîner à poil, en semaines on ne le voyait que quelques instants, là il se baladait dans tout l'appartement, il traînait. Dès que le café était prêt Mathilde apparaissait, ça devait être une de ses préférées celle là. Elle venait nous faire la bise à Richard et à moi.
– Alors les mâles, vous allez bien ?
Ulysse se glissait juste derrière elle, il la prenait dans ses bras, elle retournait le visage et ils s'embrassaient. Là c'est avec violence que j'ai senti ma queue protester, jusque là j'avais contrôlé mais à cet instant je ne contrôlais plus rien. C'était l'horreur. Ça ne pouvait pas être pire, en tout cas c'est ce que j'ai pensé quand j'ai vu la queue d'Ulysse se relever entre les cuisses de Mathilde. Ils s'amusaient les deux farceurs, ils jouaient avec nos nerfs.
On a fait comme un blocage. On ne disait plus rien, on servait le café à tout le monde, on mangeait, on buvait notre café et devant nous Mathilde se collait à Ulysse, l'embrassait, lui caressait la queue. Et il bandait ferme le bestiaux. Elle lui suçait la queue, avant de terminer en s’asseyant dessus.
Là on ne bloquait plus, on buggait. C'était l'horreur, ma queue était écrasée dans sa cage, je ne montrais rien, Richard non plus. Comme, contrairement à nos camarades en rut, nous étions habillés, enfin légèrement mais habillé tout de même avec un pyjama, rien ne se voyait. Mais je vous jure que c'était l'horreur. Ma bite poussait de ...