1. Offerte avec mon approbation (5)


    Datte: 11/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: XYaimeXX, Source: Xstory

    ... sucer.
    
    — Tu vas voir la ptite bite, comment qu’il va t’éclater l’cul !
    
    Et il me força littéralement, sans plus de préparation. J’étais suffisamment excitée et donc suffisamment dilatée pour que la déchirure ne dure qu’un instant.
    
    Je n’avais pas encore atteint mon orgasme vaginal, mais celui de mon trou de balle fut quasiment immédiat. Les contractions de mes muscles autour de la pine de Farid décuplèrent son plaisir, et il perdit tout contrôle. Sa jeunesse, peut-être, et un certain manque d’expérience le firent éjaculer plus tôt qu’il n’avait prévu.
    
    Une autre queue prit immédiatement la place, plus fine, mais plus longue, elle cognait bien au fond.
    
    De temps en temps, je cessais de sucer, autant pour me reposer la mâchoire que pour avoir le temps d’articuler quelques mots de contentement.
    
    Riadh se présenta à son tour : ce fut un tollé !
    
    — Non, non... Beau papa... Pas toi, casse-toi !
    
    — De quoi ? J’ai bien le droit de l’enculer à mon tour, non ?
    
    — Encule-la si tu veux, mais en dernier. T’es trop gros, tu vas nous l’élargir.
    
    — Ouais, Hakim a raison, on va flotter dedans après.
    
    — Surtout moi. J’ai la bite peu épaisse. Si je passe après toi, j’vais avoir l’impression d’être une allumette toute seule dans une boîte vide.
    
    — Bon, bon, allez-y les p’tites quéquettes là. J’vais la travailler en dernier !
    
    Et tous me limèrent le fion avec plus ou moins d’ardeur jusqu’à ce que Riadh y vienne.
    
    J’étais pourtant bien astiquée déjà, et même enduite de ...
    ... foutre, car un mec m’avait même pissé sur le cul, mais je n’avais jamais introduit dans cet orifice un truc aussi large. Je le sentis passer. Riadh poussa le braquemart à fond et l’enfonça jusqu’aux couilles et il me démonta à tel point que les secousses m’empêchaient de sucer correctement.
    
    Puis il me remit sur le dos, m’écarta les jambes, me bouffa la chatte goulûment et replanta son pieu dans mes chairs, entre mes deux lèvres gourmandes, en écartant à nouveau les parois de ma moule.
    
    La sodomie avait un peu calmé mes spasmes vaginaux, mais la bite du gros bouc fit aussitôt son effet magique. Le charme opéra plus puissant que la première fois ; mon beau-père se mit à genoux, me tira bien jusqu’à lui pour s’enfoncer au plus profond et se démena.
    
    Mon corps fut parcouru de frissons électriques, la tempête se déchaîna et la jouissance déferla comme un tsunami. Mes seins roulaient sous les coups de bite quand ils n’étaient pas écrasés par une bouche avide ou des mains chapardeuses.
    
    Je délirai complètement sous cet orgasme inextinguible. Un mec s’allongea au-dessus de ma tête, perpendiculairement à mon corps, bras tendus, pour planter sa queue dans ma bouche et s’y promener en d’amples va-et-vient qui me défonçaient la luette.
    
    Je faillis vomir et m’étouffer quand son sperme jaillit en d’abondantes larmes dont je dus avaler une bonne dose pour ne pas m’étouffer.
    
    Quand il se retira, j’inclinai la tête pour cracher le surplus, ce qui donna bien des envies aux autres ...
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