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Micheline au pays du kama sutra
Datte: 13/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds
... énorme. L'homme ne se fit pas prier et toujours avec lenteur, s'enfonça dans son rectum à petits coups précis avant d'y engager totalement son pénis et de la fouiller dans ses profondeurs. Cette fois, Micheline brama tout en se frottant le clitoris et le spectacle de son épouse en transe fit éjaculer Jean-Yves dans son caleçon à peine baissé. Quelque chose d'infime dans l'attitude de Vikash laissa transparaitre que lui aussi avait joui. Il se retira délicatement, la capote lourde d'un sperme épais. Micheline la lui arracha pour tirer ses dernières gouttes de sperme et s'en pourlécher. C'en était fini de cette union. Vikash proposa à Micheline de poursuivre sa découverte avec un autre chevalier servant. Jean-Yves y était favorable mais son épouse déclina. Elle se sentait vidée de toute énergie. "Il m'a tuée" souffla-t-elle à son mari. Mais pour ajouter aussitôt : "quel plaisir inouï il m'a donnée." Les deux sexagénaires s'embrassèrent. Jean-Yves adressa à Vikash une somme rondelette, supérieure à celle qu'il avait demandée. Après avoir pris un ...
... rafraichissement au bar (car il y avait un bar), le couple français s'en fut à l'hôtel dans un nouveau rickshaw. - Tu sens le foutre et la sueur à plein nez, lui glissa Jean-Yves. - Oui et j'ai grande envie d'une douche, répondit-elle. Ce fut le début d'un long échange entre les époux, avec promesse de "remettre ça". Mais le lendemain, ce ne fut pas Vikash qui vint leur apporter le petit-déjeuner. C'était une jeune femme discrète en sari. Le couple en fut déçu et y vit le signe que le jeune homme ne souhaitait pas les revoir. Il n'y eut donc pas de deuxième séance à la maison indienne du kama sutra. Et du reste, le voyagiste imposait un changement de ville le lendemain pour de nouvelles découvertes. Si bien que la fin du voyage ne fut pas érotique mais touristique. Ce qui n'empêcha pas Jean-Yves de rendre hommage de temps à autre à Micheline lorsque, au petit matin, à moitié endormie, elle exposait nue son généreux postérieur. Et il la besognait avec fougue et virulence comme il l'avait toujours fait. Non à l'indienne mais à la française...