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Apprendre à partager (1)
Datte: 09/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: StanleyLubrique, Source: Xstory
... en arrière, son oreille arrive à hauteur de ma bouche. Je lui susurre : « Ouvre ta petite bouche de chienne ». Elle ne se fit pas prier. « Tu aimes sa queue hein ? ». « Oui, trop ! » répondit—elle d’une voix étranglée. « Ah oui !? Pourquoi ? ». Marc a compris et vient se placer face à nous. Je continue à pilonner sa fente. « Elle est grosse ! ». Elle a maintenant le colosse à quelques centimètres de son visage. « Puisque tu l’aimes tant, Marc va te baiser la bouche. Tu ne bouges pas, t’as compris » dis-je tout haut. Il la saisit par la mâchoire. Et revoilà Marc dans sa bouche pour la troisième fois de la soirée. Laure gémit de plaisir. Il lâche la dernière barrière psychologique : « Alors t’aimes ma grosse queue p’tite pute ». Elle gémit de nouveau. De la bave commence à s’échapper par les commissures de ses lèvres. Je la lime avec vigueur. A chaque coup de rein je tente d’envoyer ma queue au plus profond de ses entrailles. Je bande à m’en casser le sexe. Je n’es jamais été aussi raide et gonflé. Je profite de l’occasion pour changer de trou sans prévenir. Ma queue lubrifiée par la mouille de Laure disparaît dans son anus. Avalée. Aspirée. Engloutie. Ma princesse est une trainée et elle a tout ce qu’elle mérite. Je sais qu’elle est en train d’adorer ce moment. Soumise. Livrée à deux hommes qui la besognent comme une vulgaire putain à bas prix. Je n’en peux plus, je sens le jus monter. Impossible de finir dans son cul, je ...
... sais à quel point elle aime voir le sperme jaillir de mon sceptre ou le recevoir en bouche. Je me retire et indique à Marc de prendre la relève. Laure regarde son manche avec nostalgie. Quelle garce ! Je vais la faire suffoquer. J’embroche son avaloir. Elle ne résiste pas. On n’entend plus que les bruits de succion dans la pièce. Par intermittence elle me fait des gorges profondes. Je sens ma pine qui tape le fond déclenchant une réaction immédiate : elle tente de retirer sa tête pour respirer. A la cinq ou sixième fois, je maintiens ma position. Son visage change instantanément de couleur, il tourne au rouge violacé et son râle se fait de plus en plus fort. Ses yeux se ferment et elle commence à grimacer. Je desserre l’étau et elle expulse mon dard. Un épais filet de bave nous relit encore. Une substance d’un brun jaunâtre s’écoule le long de son menton. Elle redresse son buste et tente de reprendre son souffle. « J’ai ravalé mon vomis » dit-elle d’une voix essoufflée. « Tais-toi et suce ! » Je lui réplique tout en la reprenant par le cou afin de lui montrer qui est aux commandes. Laure ne désobéi pas et retourne à sa tâche comme une esclave. Pendant ce temps Marc s’agrippe fermement à ses hanches et continue de la rudoyer. Ce batard impose des coups de bassin puissants et la démonte sans vergogne. Il lui écarte au maximum les fesses afin de bien voir sa rondelle et sa chatte qui se dilate pour accueillir ce bazooka. Il se lâche : « Ta petite chatte est ...