COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Bonjour ma sœur (3/3)
Datte: 08/11/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... septembre, en octobre avant la saison d’hiver, fais ce qu’il te plait.
J’avais 16 ans pendant mes vacances d’été travaillant au roomservice mon père m’imposant de passer de service en service pour tout connaître des différents métiers que frappant à la porte d’un couple, on m’a demandé de rentrer.
La femme m’a ouvert la porte voulant simplement une bouteille d’eau fraîche malgré la clim dans cette chambre.
Elle était entièrement nue, les seins un peu tombants.
Mais lorsqu’elle m’a attiré sur son lit, me montrant sa chatte épilée, tous les interdits de mon père ont volé en éclat.
La pénétrant, j’ai perdu mon pucelage.
Pendant les quelques jours où elle a été présente,je me suis transformé en rat d’hôtel trouvant toujours le moyen de regagner sa chambre.
Elle m’a même commandé un repas en amoureux avec son mari.
Il devait avoir plus de 70 ans, ce soir-là, elle était en robe du soir et lui dans la salle d’eau.
Il était dans son bain, car il lui parlait pendant qu’elle me suçait.
J’allais commencer d’installer la table, mais avant elle a relevé sa robe et ce sont ses seins dessus que j’avais dégagés de sa robe que je l’ai prise entrant comme dans du beurre tellement elle mouillait.
J’ai déchargé, fini mon travail, au moment où je quittais la chambre, la femme ayant retrouvé une tenue normale, l’homme est sorti de la salle de bains.
Me voyant, il est allé sur un guéridon de l’entrée et m’a remis un billet de 100 €.
Un instant j’ai eu ...
... l’impression d’être pute que le mari payait étant dans l’impossibilité de satisfaire une telle chaudasse.
À la fin de l’été, cette première femme ayant été le déclencheur, lorsque j’ai rejoint mon lycée, j’étais le coq de tous mes copains.
Je dois dire, que chaque soir, j’allais en boîte et que comme par effet de répétition, les meufs qui me refusaient ignorant qui j’étais, tombaient toutes comme des mouches.
Nous montons dans mes appartements.
J’entraine Adeline sur mon balcon.
La vue sur le mont Blanc est magnifique, les neiges éternelles sur les sommets brillent sous le soleil.
La garde-robe d’Adeline étant encore réduite, elle a la même robe que chez ses parents.
Je la plaque sur la rambarde du balcon en bois, je lui passe une main par l’échancrure empommant son sein.
Sa fraise, que j’ai trouvée très sensible chaque fois que nous avons fait l’amour se met à bander.
Je soulève le bas de sa robe, elle se laisse faire, j’ai réussi à lui donner goût au sexe.
Deux doigts dans sa fente, elle est mouillée plus que de raison.
Alors qu’au pied de l’hôtel, une Bentley s’arrête, j’entre en elle pour notre plus grand plaisir.
• Là, tu as le mont Blanc, le mont à côté, c’est...
Je lui fais découvrir le magnifique panorama dont j’ai eu la chance d’hériter en plus de l’hôtel.
Chaque mont ou aiguille, c’est un coup de sexe que je lui mets.
Comme depuis la première fois où nous avons fait l’amour, je suis obligé de quitter son sein pour museler sa ...