Clémence et nos plans à trois (1) - Histoires de Sexe

Clémence et nos plans à trois (1)

Je ne sais plus vraiment quand cela a commencé. Tout ce que je me rappelle est de la manière. Cela faisait quelques mois que j’étais avec ma copine. Nous nous étions rencontrés par le biais d’une application de rencontre. Le feeling était directement passé. Nous avions de nombreux points communs et une passion non dissimulée pour le sexe. Je pense que notre premier rendez-vous officiel, si je puis le dire ainsi, s’est soldé par une baise torride. Aussi bien le soir, en rentrant que le matin, au lever.

Clémence est blonde. Des cheveux longs qui lui arrivaient, à l’époque, juste au milieu du dos. Des yeux bleus, tirant vers le gris. J’aimais beaucoup son regard, je dois l’avouer. Il y avait une certaine lueur taquine qui n’arrêtait pas d’y briller. Un physique élancé, ponctué par un ferme 95B. Malgré leur taille modeste, j’aimais beaucoup jouer avec et elle n’était jamais contre.

Nous devions nous rendre à l’anniversaire d’un de mes amis. Il organisait une petite fête dans une salle. Depuis que j’avais rencontré Clémence, je sortais beaucoup plus souvent. Elle aimait faire la fête. Je lui avais dit que l’ambiance serait plus décontractée. Elle s’est donc verni les ongles, en rose, seule touche cosmétique et s’était légèrement maquillée. Elle avait opté par un jeans qui lui collait aux jambes et un t-shirt tout aussi moulant. Une tenue simple, mais qui ne laissait aucun doute sur les charmes de son corps.

Mon ami s’appelait Antoine. Ce n’était pas la première fois ...

... qu’il rencontrait ma petite-amie. Il était bien bâti. Lorsqu’il nous vit arriver, il nous salua. Il nous avoua qu’il n’avait pas lésiné sur l’alcool et de quoi grignoter. Son père était brasseur et grossiste en alcools. Je ne doutais pas qu’il avait su bénéficier de très grosses réductions. Et il n’avait pas menti. Nous avions toujours de quoi boire. De nous tous, il était le seul à être resté dans notre village d’enfance. La musique défilait. Nous retrouvions nos années d’adolescence pendant lesquelles nous n’arrêtions pas de sortir et de danser. La danse avec modération, surtout. Il devait être aux alentours d’une heure du matin lorsque les premiers couples partirent. Beaucoup allaient dormir chez les parents qui vivaient dans le village. Certains n’avaient pas bu. Je vis du coin de l’œil que les célibataires restaient entre eux pour parler de souvenirs d’enfance. Les signes ne trompaient pas.

D’ici une heure, la soirée serait terminée.

Antoine s’approcha près de nous. On l’avait vu une fois ou deux durant la soirée et il nous sourit. Il vanta le charme de Clémence, ce qui eut pour effet de la flatter et de me rendre fier. Nous avions tous bien bu et je dois avouer que je n’avais pas fait attention à notre discussion. Je ne savais pas comment elle s’était tournée sur le sexe. Lorsque je m’en rendis compte, ma petite-amie en parlait librement et lui n’en ratait pas une miette, penchée sur les lèvres de la jeune blonde. J’avoue que la situation m’excita légèrement.

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