Petite Ombeline et "L'autre" (2)
Datte: 06/11/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: pulzer, Source: Xstory
... ensuite place sur la table derrière elle et releva son kilt, révélant qu’elle ne portait rien dessous. Philippe passa ses doigts sur le sexe qui lui était offert et découvrit qu’il était déjà très humide. Il lécha ensuite ses doigts, et savoura le goût de celle avec qui il avait déjà baisé plusieurs fois depuis trois mois. Il l’embrassa passionnément avant de prendre possession de sa chatte avec son pieu d’ébène. La belle était tellement lubrifiée que ça coulissait tout seul. Le piston entrait et sortait avec une régularité de métronome. En amant attentionné, Philippe guettait le moment où sa fausse élève approchait de la jouissance.
Quand il vit les premiers signes annonciateurs de plaisir chez la belle qu’il besognait, il arrêta tout mouvement. Celle-ci, frustrée, l’embrassa et bougea son bassin pour l’encourager à reprendre son ouvrage. Mais Philippe ne voyait pas les choses comme ça. Il sortit son sexe bandé de la gaine lubrifiée, arrachant un grognement plaintif à son amante, et il la retourna, plaquée sur le bureau, face au tableau noir. Ainsi, il empala sa partenaire par-derrière. Dans cette position, il allait plus profondément dans le sexe de L’autre. De plus, ses couilles battaient en mesure sur le clitoris de la femelle en chaleur qu’il avait devant lui, accélérant la remontée de son plaisir. Il lui écrasa le torse sur la table et entreprit des mouvements amples. À chaque fois qu’il rentrait son sexe dans celui de L’autre, il faisait avancer un peu le bureau sur ...
... lequel ils copulaient. Tant et si bien que le bureau finit bloqué par l’estrade devant le tableau. C’est dans cette position que Philippe acheva sa partenaire d’une dernière estocade. Il vida ses couilles dans le sexe de la belle en train de jouir.
Comme à chaque fois, quand L’autre eût joui, mon rêve s’arrêta. Au réveil, j’étais doublement frustrée. Frustrée parce que je n’étais toujours pas comblée sexuellement, bien que mon corps avait encore joui dans la nuit, comme en témoignait l’état humide de mon lit... Mais aussi frustrée, parce que ce serait mon dernier jour dans ce collège, la dernière fois où je pourrais voir Philippe, mon beau prof de math ébène et amant de mes rêves.
Après ma douche, je m’habillai sans vraiment réfléchir que ma tenue ressemblait à celle que portait L’autre dans mon rêve de la nuit, à savoir, un kilt au tartan rouge et vert sur des collants noirs et un chemisier blanc, mais pas transparent le mien. De même qu’au pied, je n’avais pas d’escarpins à talons mais des Converses.
J’allai au collège comme tous les matins de la semaine depuis trois mois. Je ne devais pas participer au coup de filet, histoire de ne pas griller ma couverture. Je devais jouer mon rôle d’élève normalement, mais aussi veiller discrètement à ce qu’aucun des impliqués identifiés n’échappe au piège.
En arrivant en classe, je commençais par les maths ce matin-là, je pris ma place habituelle. Philippe arriva peu après que je fus installée. Quand il entra dans la pièce, ...