Les deux putains de l'armée française... (5)
Datte: 06/11/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... clameur déchirante, et commence à ahaner sous les coups de boutoir que l’homme s’empresse de lui donner.
Ca y est, je suis définitivement cocu, l’adultère, en public, est consommé ! Avec un rien de désir pervers de ma part, ma femme est enfin pénétrée par la bite d’un autre mec que moi ! Mais je ne lui en tiens pas rigueur, tant le spectacle est excitant !
Il se met à la limer avec ardeur et art. Bien plus, il a saisi le dessous des cuisses de ma femme, et lui soulevant le bassin, les place sur ses épaules. Comme cela, mon épouse est littéralement rivée au mec, qui la pénètre jusqu’à la garde !
Ma femme crie sa jouissance avec bonheur, tentant, autant que faire se peut, de continuer à pomper la bite du troisième gars qu’elle a en bouche. Celui qui reste la bite en drapeau, en profite, le bassin de ma femme étant basculé, pour lui palper les fesses et enfin mettre deux doigts dans l’anus... ma femme, qui n’ a jamais été une experte en sodomie, c’est le moins que l’on puisse dire, tant cette pratique lui parait abjecte, se laisse pénétrer la rondelle avec délectation. Je me dis que si personne n’intervient, elle va sous peu prendre une troisième queue dans son dernier orifice encore disponible ! Pour mon plus grand plaisir !
Voir ma femme se faire enculer, là sous mes yeux, me lance une grande onde chaude dans le ventre !
Mais le lieutenant en a décidé autrement. Le regard toujours rivé sur cette bite qui défonce la chatte de ma femme, il cède à son apostolat ...
... martial et vocal !
— Vous là, les trois baiseurs, vous allez fiche le camp immédiatement ! “
Aussitôt, les trois hommes pris en flagrant délit de fornication ont la réaction de tout homme normalement constitué...
Ils se retirent vite fait, la queue littéralement entre les jambes, et remontant avec peine leur pantalon, prennent la fuite sans demander leur reste.
Ma femme reste ainsi, couchée sur les ballots, alanguie, toujours aussi nue et disponible, impudique au possible, son plaisir quelque peu interrompu. Se passant une main sur son sexe trop tôt désinvesti, elle lance une œillade polissonne aux trois militaires, faisant fi de ma présence de "mari officiel", et leur dit :
— Quel dommage, j’allais jouir... vous n’auriez pas cinq minutes ? Mon petit mari aimerait, j’en suis sûre, me voir prise par trois cerbères de nos glorieuses troupes d’élite !
— Toi la catin, relève-toi et couvre-toi ", lui lance, méprisant, le lieutenant, qui lui tend sa veste de treillis.
Le charme est rompu. Sans aucune honte, ma femme se relève, plaçant la grande veste lourde sur ses épaules de femme infidèle. Je remarque que les deux soldats sont un peu déçus... la grosse bosse qui déforme leur pantalon de treillis tend à me convaincre qu’ils auraient avec plaisir terminé l’apostolat jouissif des trois Magrébins ! Mais tant pis, ce sera pour une prochaine fois, pensé-je in petto !
Nous étions tellement fascinés par le spectacle de ma femme, se faisant baiser, que je n’ai même ...