Il y a divorce et divorce_partie 1
Datte: 05/11/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Briard, Source: Hds
... braver l’ennemi.
Janice
Dernière semaine avant le procès. Janice n’arrivait pas à penser à autre chose qu’aux conséquences punitives risquées par Steven. Il avait été le grand amour de sa vie et elle n’arrivait pas à se détacher de cette idée. Bien sûr, Pierre-Alain était un ami merveilleux, bienveillant, rassurant et, elle le sentait, très attiré par elle. Plus d’une fois elle avait senti qu’il profitait d’un rapprochement pour la frôler, la toucher du genou ou bien mettre la main sur son bras. Il était bel homme, distingué, toujours élégant voire raffiné, avec un léger accent canadien très craquant. Elle se rendait bien compte que cette danse de la séduction ne la laissait pas indifférente et que, si ce n’était ses liens encore solides malgré tout avec Steven, elle aurait volontiers cédé aux sirènes de l’amour. Le temps était à l’orage et elle détestait par-dessus tout le tonnerre. Pierre-Alain découvrit un petit être chétif et frileux, emmitouflé dans une robe de chambre et recroquevillé dans le canapé. Elle le regardait avec des yeux suppliants.
« Vous n’allez pas partir maintenant, avec l’orage qui gronde. Restez au moins un peu, le temps qu’il cesse. »
Il s’assit tout contre elle et la prit dans ses bras
« Venez-là petit oiseau affolé, je vais vous protéger du méchant orage. »
Elle tourna son visage vers lui.
« C’est vrai, vous restez ? »
Il n’eut qu’à incliner la tête pour que leurs lèvres se touchent. Elle les ouvrit aussitôt et leur baiser ...
... devint passionné. Il jubilait intérieurement. Cela faisait des semaines qu’il attendait sa juste récompense. Il lui caressa le visage tout en prolongeant le baiser et elle s’accrocha à ses épaules comme à une bouée de sauvetage. Il passa son bras droit sous ses jambes et la souleva comme un fétu de paille. Il se dirigea, toujours en l’embrassant, vers sa chambre. Elle avait les yeux fermés mais savait dès à présent ce qu’il allait se passer. Elle était consentante, vaincue, sans défense. Elle se rendait et s’offrait à son sauveur.
Il l’allongeât sur le lit et retira sa veste et ses chaussures. Il défit un à un les boutons de son corsage et commença à l’embrasser dans le cou avec le plus de délicatesse possible. Elle s’accrochait toujours à lui, les mains croisées sur sa nuque. Il défit l’attache du soutien-gorge et vit enfin apparaître sa superbe poitrine. Pour une femme ayant passé quarante ans, elle était drôlement bien conservée. Ses seins étaient encore très fermes et gonflés. Il joua avec leurs pointes, les pinçant légèrement pour les ériger, puis il se pencha pour les aspirer l’une après l’autre d’une bouche gourmande. Elle plaça ses mains sur son crâne, se laissant aller à l’abandon dans un soupir de délivrance. Il défit la fermeture de sa jupe, abaissa la fermeture éclair, puis lui retira le vêtement. Il lui ôta le soutien-gorge, abaissa sa culotte, puis se recula pour mieux l’admirer
« Qu’est-ce que tu es belle. »
« Embrassez-moi. »
Il s’allongeât près ...