Les actrices (12)
Datte: 04/11/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Ambassade, Source: Xstory
... tu as eu tes diplômes au moins.
— Moi non, mais ma coloc oui ! Le responsable de sa formation faisait passer à la demande des épreuves de ’compensation’ comme il les appelait, au barème un peu particulier : +1 point pour une pipe occasionnelle, +2 si c’est régulier et +3 si c’est plusieurs fois par jour. Pour la baise, c’était respectivement +2, +3 et +4 et pour la sodo +4, +6 et +8.
— Et quelle option a choisi ta coloc ?
— Disons que même depuis que je fais du porno, je n’ai jamais vu une fille se faire autant enculer. Un jour où le gars avait dormi à la maison, je l’ai entendu se faire péter la rondelle deux fois au petit-déjeuner et trois fois dans la soirée, sachant que d’après ce qu’elle m’a dit, il lui a élargi le trou de balle au moins six ou sept fois dans la journée. Remarque, il devait être doué parce que, ses études terminées, elle est partie vivre avec lui et aux dernières nouvelles ils sont toujours ensemble.
Je souris de nouveau, et après l’avoir embrassé une nouvelle fois, nous sommes partis nous doucher puis nous nous sommes rapidement endormis, complètement épuisés et tendrement enlacés. Un bruit violent me réveilla soudainement, vers une heure trente du matin d’après ma montre. Ce n’était que le tonnerre, l’orage n’allait pas tarder à éclater. L’esprit embrouillé, je mis quelques instants à me réveiller. Mélanie dormait paisiblement, mais la température ayant chuté, je me levai pour la couvrir d’une petite couverture. Debout dans la chambre, je ...
... percutai soudainement que c’était là une occasion rêvée pour s’introduire discrètement dans une église, le nombre de badauds aux alentours du bâtiment allait être quasi nul. Aussitôt, je m’habillai et après avoir embrassé Mélanie sur le front sans la réveiller et avoir pris le nécessaire vital, je me dirigeai vers la chambre de Julie.
Je la trouvai éveillée, assise sur son lit, recroquevillée et regardant les éclairs d’un air anxieux.
— Ça ne va pas ?
— Si, si, mais... je ne suis pas tranquille quand il y a un orage. Je sais, c’est idiot et ça fait gamine, mais j’y peux rien c’est plus fort que moi.
Elle me regarda alors avec un air penaud, aussi m’empressai-je de la rassurer. Je lui annonçai ensuite que j’étais passé la voir pour lui proposer un ’truc’ en dehors du gîte, qui devrait à l’avenir lui permettre de moins appréhender les orages. Intriguée, mais curieuse, elle accepta de me suivre malgré ses craintes et enfila rapidement une petite robe d’été noire à bretelle, cintrée et largement décolletée, sans rien au-dessous. Même lors d’un accès de faiblesse, Julie restait égale à elle-même. Elle n’ajouta à sa tenue qu’une paire d’escarpins à lanière assortie, ainsi que ses éternelles lunettes, la jeune femme étant complètement myope. Une fois prête, elle me suivit jusqu’à la voiture.
Arrivés dehors, je remarquai un véhicule qui n’était pas là la veille. Sans surprise, je reconnus la voiture de Gilles qui avait dû venir voir sa belle après son service. La pluie ...