Les aventures sexuelles de Néferetounenès au temps de Ramsès II (2)
Datte: 04/11/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Docmature, Source: Xstory
... belle que moi… Mais rejoignons père afin d’accueillir nos invités, ils ne vont pas tarder à arriver.
En partant, nous passons devant mes quatre servantes, avec qui j’ai partagé de si agréables et jouissifs moments cet après-midi. Elles s’inclinent sur notre passage mais Hedjouret m’adresse de plus un baiser de sa main, que je m’empresse de lui rendre.
— Néferetounenès, fais attention à tes gestes. Il vaut mieux que certains amours restent secrets. Beaucoup trop de personnes s’offusqueraient de connaître tes relations intimes avec Hedjouret.
— Mais maman, je ne nie pas qu’elle soit mon amante et j’en suis fière, mais comment en es-tu informée ?
— Je suis la maîtresse de cette maison, ne l’oublie pas, tout ce qui se passe sous mon toit, je l’apprends d’une manière ou d’une autre. Attention, je ne te fais aucun reproche, loin de là. Si je ne savais pas qu’elle partage généralement ta couche, je demanderais bien à Hedjouret de me rejoindre certaines nuits. Tu as très bon goût, ma fille, c’est une très belle femme. Mais ce soir tu auras le choix, en commençant par les deux fils du vizir. Et faire l’amour dans les bras d’un homme, c’est aussi très jouissif...
— Maman, voyons, heureusement que père n’entend pas ce que tu dis !
— Nous avons toujours eu une relation très libre avec ton père, comme tu le sais, à l’encontre de ce qui est la règle dans les autres familles où la fidélité est de rigueur après le mariage. Et ne t’inquiète pas pour ton père, presque ...
... toutes les servantes de notre maisonnée ont connu sa couche. Heureusement qu’il est médecin et qu’il connait différentes préparations pour éviter de tomber enceinte, sinon tu aurais beaucoup de frères et de sœurs, crois-moi !
— Mes deux grands frères Ptahotep et Sekhemket me suffisent. Je suis d’ailleurs très triste qu’ils ne puissent pas être là, j’aurais tant aimé. Mais attends maman, regarde là-bas, c’est père qui accueille le vizir et ses deux fils, viens vite.
En attendant d’être présentée par mon père, je détaille les trois invités. Le vizir, l’un des personnages les plus importants de la vie de notre pays, son premier magistrat et qui chapeaute toute l’administration, porte sa tenue classique, le shenep, un long pagne plissé descendant jusqu’aux pieds et fermé dans le dos par un cordon. Quant à ses deux fils, ils portent tous les deux une robe plissée en lin très fin à manches courtes, moulant la poitrine, avec une large ceinture nouée autour de la taille, dont les pans servent de tablier. Mais je remarque surtout qu’ils doivent être à peine plus vieux que moi et me paraissent très bien faits de leur personne.
Les présentations effectuées et les autres invités étant arrivés, le banquet peut commencer. Mes parents partagent leur table avec le vizir alors que je suis assise, à un autre guéridon, en compagnie de ses deux fils. Nous faisons rapidement connaissance, ils ont 20 et 22 ans et, le vin aidant, notre conversation devient de plus en plus libre. Eux aussi ...