1. Comment je suis passé de youtuber à youporner (2)


    Datte: 02/11/2022, Catégories: Hétéro Auteur: yug0lit0, Source: Xstory

    ... d’applications libres de droits. J’avais juste à rajouter l’adresse IP du serveur bancaire dans le code source et hop c’était bon. Chaque semaine, je venais la voir. Je récupérais les vidéos enregistrées durant la semaine (en général, une par jour) pour en faire le montage une fois chez moi et je les mettais sur le site. Je profitais du montage pour faire des versions plus courtes des vidéos en coupant exprès le plus intéressant. A la fin de ces versions édulcorées, je mettais « si vous voulez en voir plus, allez sur le site » et je postais ça sur les sites de streaming en version monétisé avec de la pub. Bien évidemment, s’il y avait un problème avec le matériel, j’étais chargé de la maintenance gratuitement. Ce n’était que quand j’avais fini qu’on passait dans la chambre.
    
    Avec elle, j’en ai appris des choses. J’en ai essayé des positions. Autant vous dire que j’ai rattrapé mon retard en matière de sexe. On ne s’enregistrait pas toujours mais quand on le faisait je m’en gardais une copie. Il m’arrivait de me les repasser tout seul chez moi. J’ai appris des choses mais elle aussi a appris des choses. Déjà sur le plan technique, elle a acquis quelques bases. Mais surtout elle a appris quelque chose sur moi, un secret de fabrication de mes vidéos YouTube. Dans mes vidéos, on entendait parfois la voix grave d’un autre homme, comme un complice ou un acolyte. Cette voix en fait c’était moi qui la faisais. Au moment de tourner, je laissais un blanc, je faisais semblant de ...
    ... regarder quelqu’un, un pseudo cameraman, alors qu’en fait, j’étais tout seul et seulement après, en post production, je rajoutais cette voix au montage. Ça rendait les vidéos plus vivantes et, surtout, ça me permettait de sortir des grossièretés par le biais de cette voix, de dire tout haut ce que certains disaient tout bas, me laissant ainsi le beau rôle. Cette voix en fait c’était la mienne mais poussé dans les graves que je faisais moi-même sans trucage. Ça me donnait une voix genre gros routier tatoué. Contrairement à ma vraie voix un peu aiguë qui me donne dix ans de moins, cette voix là est plus brutale, plus rocailleuse. Ado je m’en servais pour faire des canulars téléphoniques avec les copains, me faisant passer pour mon père. Je disais donc qu’elle a tout découvert le jour où j’ai voulu essayé la sodomie. Comme chaque semaine, je venais de prendre les vidéos et de vérifier si tout fonctionnait bien. Comme à notre habitude, avant de m’en aller, on s’est rendu dans la chambre, on s’est déshabillé et c’est alors que je commençais à la prendre en levrette que j’ai évoqué l’envie de « changer de trou ». Elle m’a indiqué où elle avait du lubrifiant et après en avoir mis plus que nécessaire, j’ai essayé.
    
    C’était bon. Etroit mais bon. Au début je voyais Kathy faire la grimace. Elle m’a rassuré, elle m’a dit que ça allait et j’ai continué jusqu’à jouir dans son anus. Sur le coup, je ne me suis rendu compte de rien. Durant l’acte j’avais sorti des « Oh oui c’est bon » ou encore « ...
«1234...10»