1. La culotte de bain (1)


    Datte: 02/11/2022, Catégories: Transexuels Auteur: willaspi, Source: Xstory

    ... fait rire et Brian n’a pas l’air offusqué, n’est-ce pas.
    
    — Non Monsieur, en effet.
    
    — Charlotte, je m’en occupe, reste avec ton père.
    
    Nous commençons à parler de la fin de sa formation et des stages qu’elle va devoir effectuer à l’étranger pour avoir de nombreuses opportunités d’emploi.
    
    — Au fait papa, tu pourrais trouver un boulot à Brian stp.
    
    — Je croyais qu’il continuait encore ses études.
    
    — Non, il a décidé d’arrêter pour l’instant et de mettre de l’argent de côté.
    
    — Mais avec son gabarit, je ne peux pas le faire travailler sur mes chantiers.
    
    — Oui, je sais, mais un travail de bureau au siège de ta boîte, ce serait sympa.
    
    — Je vais y réfléchir ma belle.
    
    — Je dois partir dès demain pour l’Angleterre pour 1 mois.
    
    — Et tu me le dis que maintenant.
    
    — Je l’ai appris en début de journée quand tu étais au boulot, ce serait sympa qu’il reste ici pour travailler avec toi.
    
    — Tu n’as pas l’impression de me le faire à l’envers ma chérie.
    
    — Allez mon papa adoré.
    
    — OK, je réfléchis ce soir et je te dis ...
    ... demain.
    
    On entend de la vaisselle qui se casse dans la cuisine
    
    — Charlotte, à l’aide.
    
    — Laisse ma belle, je vais l’aider.
    
    En arrivant dans la cuisine, je vois quelques assiettes explosées au sol, mais surtout Brian sur la pointe des pieds retenant une pile d’assiettes prête à tomber et son autre main avec deux verres en équilibre instable. Son tee-shirt est remonté sur sa taille et une fesse "mange" la culotte rouge. Je bande direct.
    
    Je m’approche de lui. Je me colle à son dos. Une main sur son ventre et la deuxième qui retient la pile d’assiettes en l’air. Je mets ma bouche au niveau de son oreille.
    
    — J’adore ton cul dans cette culotte de cochonne.
    
    — Mais...
    
    — Chut salope, je suis certain que tu as aimé la porter sinon tu te serais changé.
    
    — Non, vous...
    
    — Tais-toi, tu me fais bander, tu sais.
    
    — Pardon, vous...
    
    Je lui lâche le ventre.
    
    — C’est bon, lâche la pile d’assiettes, je m’en occupe.
    
    Il me fait face avec un regard perdu.
    
    — On continuera cette conversation plus tard.
    
    Il sort avec les verres 
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