UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 08 : LA JE NE RESISTAIS PAS
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT
EP 08 : LA JE NE RESISTAIS PAS
Alors là il m'avait surpris, si c'était ce qu'il voulait faire, c'était réussi ! Je restais là, comme un con, incapable de dire quoi que ce soit, il partait en me criant …
Étienne : Allez en avant bonhomme, on a encore de la route à faire avant ce soir !
Il se retournait, me regardait, il rigolait.
Étienne : Tu bandes encore mon gars. C'est moi qui te fais cet effet ?
Je marmonnais quelques mots incompréhensibles, que je ne comprenais même pas moi même d'ailleurs, et j'avançais en traînant les pieds. Là je ne savais plus quoi faire, j'avais envie de lui sauter dessus depuis ce matin même que hier j'avais déjà envie de lui sauter dessus … En tout bien tout honneur ! Pas pour lui faire du mal ! Juste pour lui sucer la queue et me la prendre dans le cul. Je n'avais que de bonnes intentions parfaitement avouables, ne vous méprenez pas !
Il prenait de l'avance et brusquement je me voyais tout seul dans la forêt au pied d'une montagne que je ne connaissais pas, je ne savais pas ou j'étais … Et le téléphone il marche le téléphone. Je faisais un essais … Ouf il marche le téléphone … Étienne était au bout du chemin, il allait entrer dans le bois, je paniquais et me mettais à courir, quelques instant plus tard j'entrais dans le bois, il n'y avait plus personne !
Là je paniquais vraiment, je regardais à droite et à gauche, je l'appelais et j'accélérais le pas, je m’angoissais et je hurlais …
Moi : ...
... Étienne si tu ne me réponds pas je pleure !
Je l'entendais alors rigoler juste derrière moi.
Étienne : Et bien voilà une réaction d'aventurier là ou alors c'est que je n'y connais rien.
J'étais affolé, je me retournais vers lui et le prenais dans mes bras !
Moi : Tu m'as fait une de ces peurs. Je me croyais perdu, abandonné, je me voyais déjà perdu dans la nuit et toi je ne sais ou, me cherchant peut être.
Étienne : Allons c'est fini, je ne t'abandonnerai plus je te le jure, c'est fini, c'est fini.
Il me prenait dans ses bras et je dois reconnaître que l'émotion passée, j'en profitais un peu. Je sentais enfin ses muscles, ses bras forts, la chaleur de son corps, son souffle … Je bandais encore plus, de ce côté je ne contrôlais plus rien …
Étienne : Bon tu peux me lâcher maintenant, on a encore de la route à faire …
A contre cœur je le lâchais. Je me disais que si je continuais il finirait par s'imaginer que j'étais une fille facile … Et ce n'est pas le cas ! Je peux vous garantir que je ne couche pas le premier soir … Mais qu'est ce que je raconte moi, en général je n'attends même pas le soir !
Étienne : Bon maintenant tu marches devant. C'est moi qui vais reluquer ton cul.
Je passais donc devant, je jetais régulièrement un œil pour m'assurer qu'il ne m'abandonnais pas, qu'il était toujours là …
Étienne : On t'a déjà dit que tu avais un beau cul ?
J'aime bien les compliments, je prenais de l'assurance et le laissais parler.
Étienne : Tu ...