1. Mon épouse et le médecin (4)


    Datte: 01/11/2022, Catégories: Hétéro Auteur: luc_marie92, Source: Xstory

    ... l’existence d’une épouse soudain libre. Soit il s’y résoudrait un peu forcé, pour ne pas perdre la face... Mais peut-être, en son for intérieur n’en pensant pas moins. Avec la possibilité de voir s’installer progressivement le fameux " polyamour ", si simple et joyeux en théorie... Mais plus incertain, en pratique... Pouvant -oui-déboucher sur l’éclatement du couple: "Chéri. Je pars vivre avec Marc".
    
    En clair, s’en remettre aux lois de l’inconnu.
    
    Luc songea longtemps à ces différentes possibilités.
    
    Marie évoqua bien l’email, mais n’obtint pas rapidement une réponse claire... Elle décida donc de vivre l’histoire à son rythme. Une fois par semaine, elle se mit à baiser avec Marc, qui devenait donc peu à peu un amant régulier. Elle aimait comment il la prenait, elle aimait céder un peu à ses envies, et découvrait avec son amant la saveur des orgasmes successifs, que Luc n’avait que rarement su déclancher.
    
    Elle aimait surtout comment Marc savait la sodomiser.
    
    Le rituel du lavement, qui au début l’avait tout de même clairement gênée, s’était progressivement installé comme un moment inavouable mais complice. Disons les choses: Marc aime ça, que je chie devant lui, mon amant aime se branler en me matant si impudique! J’aime obéir à ce moment. J’aime chier devant lui. Mon secret le plus intime, le plus personnel, je l’offre à mon amant comme preuve de notre complicité sexuelle.
    
    De ce jeu sensuellement pervers, que d’aucuns pourraient juger malsain ou dégoutant, ...
    ... elle ne dit rien à son mari, mais s’en ouvrit à son amant. Il lui avoua alors qu’il aimerait, cette fois sans aide d’un produit médical, connaître avec elle le spectacle de ses belles fesses penchées près de son visage, le canal étroit s’ouvrant peu à peu, tandis que Marie branlerait son sexe tendu en poussant les gémissements de celle qui pousse pour se libérer. Elle lui dit que c’était très osé, que ça pouvait vite devenir dégoutant, il répondit qu’il suffisait de contrôler avant la teneur du produit à livrer... Elle lui promit de réaliser ce fantasme scabreux...
    
    C’est Marc qui après trois semaines, évoqua de nouveau Nicole... Et le psy, qui se prénommait Paul. Un type très bien, assurait-il. Quant à Sylvain, le mari de Nicole, il tenait clairement son rôle de mari complaisant, n’était pas du tout opposé à endosser celui de "lopette cocue". Nicole avait confié à Marc le plaisir que ce Sylvain mettait à porter ses lingeries.
    
    Nicole décida alors de remettre sur le tapis cette question de "la partie à quatre". Elle évoqua l’exemple de ce Sylvain, assumant tout à la fois de n’être plus celui qui contrôle, et plus encore de bousculer les fameuses "lois du genre"... Pourquoi Luc n’irait-il pas, lui aussi, "faire un tour du côté sauvage" qu’avait si bien su chanter Lou Reed du temps de leur jeunesse?
    
    Il fallut y aller en douceur. Luc accepta de rencontrer Nicole et Sylvain, avec Marie... Pour faire connaissance. Pour échanger leurs expériences. A ce stade, Marie n’avait pas ...