1. Gueule d'ange


    Datte: 30/10/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    J’avais pris dans l’après-midi un coup de fil de Magalie m’invitant à passer chez elle après le boulot, qu’elle avait une chose très importante à me dire. Elle et son mari Gilles étaient devenu depuis peu des amis. Elle, la trentaine passé, le genre de femme à qui on avait envie de baiser, taille moyenne, mince, bien pourvue sous le corsage un visage à la beauté unique, des yeux bleus magnétiques, dont la sagesse lui donnait une aisance pleine de charmes et avec ça un sourire qui vous mettait finalement à l’aise.
    
    Elle m’attendait sur le perron de son pavillon, sourire aux lèvres. Après les bises d’usages elle m’invita de la suivre jusqu’au salon.
    
    -Alors qu’as-tu à me dire ? lui fis-je.
    
    Ne voilà-t-il pas qu’au bout de cinq minutes de silence, me regardant elle alluma une cigarette, dont elle tira quelques bouffées avant de lâcher :
    
    -Qu’est-ce qu’il fait chaud ! tu ne trouves pas ?
    
    Je me demandais ce qu’elle cherchait. Elle se sépara de son gilet. Un petit frisson descendit de mon dos quand elle déboutonna son chemisier et remonta sa jupe. Comme un fait exprès elle ne portait pas de soutien-gorge. Les longs mamelons roses pointaient, trahissant son excitation. C’était donc pour ça qu’elle m’avait fait venir ? je ne savais plus où poser mes yeux. Sur sa poitrine, ou sur sa culotte de soie à fleurs dont le triangle moulait à la perfection son sexe.
    
    -Comme ça, j’aurai moins chaud ! tu ne crois pas ?
    
    Elle se laissa aller contre le divan, les mains derrière la ...
    ... nuque. Les pointes de ses seins dardées. Magalie eut un petit rire.
    
    -Cela à l’air de te plaire ? ma poitrine te plaît ?
    
    -Ils sont beau à voir.
    
    En me regardant de côté, elle caressa ses mamelons.
    
    -Gilles ne les voit même pas ! tout ce qui l’intéresse c’est de cracher son venin.
    
    Sa moue de dépit en disait long, autant que la lueur sale qui brillait dans ses yeux. Pas besoin d’être devin pour savoir qu’elle aimait le cul. Je fus surpris quand elle posa sa main sur mon genou.
    
    -Je reconnais qu’il possède une belle queue, me fit-elle alors qu’elle faisait remonter sa main le long de ma cuisse, pour atteindre très vite ma verge qu’elle effleura à travers mon jean. En sentant ma raideur, elle souriait, avec une certaine cruauté, comme si elle devinait mes pensées et s’en amusait, alors que ses doigts suivaient les contours de mon sexe, appréciant sans aucun doute l’état où elle m’avait mise.
    
    -Tout ça me donne une idée, pas toi ?
    
    Sans attendre ma réponse, elle décolla ses fesses du divan pour se soulager de sa jupe. Tout de suite après, elle se sépara de sa culotte. L’odeur forte de son entrejambe me monta aux narines. Elle avait dû beaucoup transpirer pendant la journée, et s’exciter aussi. Tout en elle respirait la sensualité, la façon dont elle se cambrait pour mettre en valeur sa poitrine, les regards par en dessous qu’elle me lançait, tout en écartant ses cuisses et approchant ses fesses au bord du divan.
    
    -Dis-moi, ma chatte te plaît ?
    
    -Et ton mari ...
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