1. Que la montagne est belle ... (4)


    Datte: 29/10/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: chousinga, Source: Xstory

    ... rejoint Louise, se trempe un peu pour s’habituer à la température de l’eau, puis ils partent à la poursuite de Jade et Julie qui sont déjà loin. Quant à moi, je prends mon temps pour me mettre à la flotte et je reste tranquillement tout près du rivage.
    
    Au bout de dix minutes, ils reviennent tous au bord. Jade et Julie sortent et viennent s’étendre sur leur serviette pour se sécher au soleil, quant à Louise et Jean-Claude, ils jouent dans l’eau avec le frisbee. Tout à coup, Louise saute dans les bras de Jean-Claude qui n’a que le temps de la rattraper avant qu’elle ne s’étale de tout son long.
    
    — Ouh là là, Jean-Claude, sauve-moi ! Il y a quelque chose de visqueux qui est passé entre mes pieds ... Je ne sais pas ce que c’était, mais je n’aime pas ça.
    
    Trop heureux de tenir l’objet de tous ses désirs entre ses bras, le coquin fait semblant de réfléchir un long moment pour prolonger cet instant de bonheur ! Puis, il finit par la redéposer sur ses pieds.
    
    — Ça doit être une truite, il y en a pas mal dans ces petits lacs. Si tu veux, demain, j’amènerai une canne, et je pourrai nous en pêcher quelques-unes. Juste poêlées au bleu, c’est délicieux !
    
    — Tu sais pêcher, toi ?
    
    — Bien sûr, tout le monde sait pêcher par ici.
    
    — Eh bien, je te prends au mot, dit Jade. Ramène-nous 5 truites demain et je promets de les cuisiner.
    
    Et la conversation s’engage sur les différentes manières d’accommoder les truites, puis dévie vers d’autres sujets, tant et si bien que le temps ...
    ... passe et que personne ne s’est aperçu que le ciel se couvrait. En un instant, comme c’est souvent le cas en montagne, une violente averse nous tombe dessus, accompagnée de bourrasques de vent, et nous sommes obligés de rassembler nos affaires et de remonter précipitamment vers le chalet.
    
    Nous arrivons à l’abri en courant, trempés comme des soupes, et pas très fiers ! Les filles ont leurs cheveux dégoulinants et emmêlés par le vent, leurs vêtements sont imprégnés de la boue soulevée dans notre course, leurs chaussures sont ravagées ... Jean-Claude et moi ne valons pas mieux, nos jeans ressemblent à des sacs de pommes de terre et nos baskets à des baignoires ! Bref, un brin de toilette s’impose pour tout le monde, et même plus qu’un brin. C’est Jade, en bonne "propriétaire" des lieux qui prend la direction des opérations.
    
    — Bon. Comme il n’y a pas beaucoup de place à l’intérieur, on va se partager l’espace comme ceci : vous, les garçons, vous prenez le séjour et nous, nous allons dans la chambre pour nous sécher et nous changer. D’accord comme ça ?
    
    Puisque ça tombe sous le sens, personne n’a d’objection, et Jade fait une distribution de serviettes propres prises dans une grosse armoire au fond du salon.
    
    — Attention, ce sont les dernières, il faudra mettre les autres à sécher dès que le soleil reviendra.
    
    Puis elles se retirent dans la chambre et, Jean-Claude et moi, nous nous déshabillons dans le séjour. Lorsque nous sommes à poil, nous nous frottons vigoureusement ...
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