1. Une mère pas comme les autres... (22)


    Datte: 29/10/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... prenant la joue contre ma paume et posais mes lèvres sur les siennes dans un baiser chaste mais sincère.
    
    - Tu ne m’auras pas de cette façon, diablesse ! Tu boiras le calice jusqu’à la lie cet après-midi et nous serons quitte.
    
    - Mmmhhh…D’accord, Maître !
    
    - Tu es d’accord ?
    
    - Oui ! Comme je te l’ai dit hier, je suis toujours d’accord ! Et, pour être honnête, je ressens une point d’excitation mêlée à de la jalousie pour celle qui va arriver. Elle pourra profiter du merveilleux amant que tu deviens.
    
    - Une pointe d’excitation ? Dis-je en levant les sourcils
    
    - Oui ! Je dois avouer que cela m’excite de te regarder avec une autre femme. Je trouve cela…stimulant !
    
    - Tu m’étonnes, là !
    
    - Ne te méprends pas ! J’enrage véritablement. Mais je suis honnête, comme nous nous le sommes promis, en t’avouant que j’y trouverai aussi une forme de plaisir et d’excitation.
    
    - Je te remercie pour ta franchise ! J’espère que nous en profiterons tous, alors ! Mais si tu ressens cela, je vais peut-être devoir changer mes plans et ne rien faire, car ce n’est pas le but initial.
    
    - Noooon ! Me dit-elle en me prenant les mains. Je t’en prie ! Fais-le ! Je veux que tout cela soit derrière nous et que nous repartions dans la franchise et l’honnêteté ! Tu as besoin de cela pour me revenir plein et entier. Alors, si tu en as l’occasion, baise avec elle. Même si je pense que j’y trouverai à la fois plaisir et rage.
    
    Je la regardais avec un œil nouveau. Elle m’aimait vraiment. Et ...
    ... je comprenais son point de vue.
    
    En l’embrassant à nouveau, je l’enlaçais et poussais ma langue contre la sienne.
    
    J’étais encore en train de l’embrasser lorsque le carillon de la porte d’entrée sonna.
    
    Je regardais ma montre et constatais qu’il était onze heure et trente minutes. Elle était un peu en avance.
    
    Anaïs s’installa sur un transat et entama sa séance de bronzage, comme si de rien n’était. Mais je pouvais voir que son regard, derrière ses lunettes fumées, ne quittait pas la porte vitrée du séjour pour voir apparaître celle qui devait être, l’espace d’un instant, sa rivale.
    
    J’entendais les voix se rapprocher à l’intérieur. Maman était sortie de sa douche et était allée ouvrir la porte.
    
    Elle sortit la première sur la terrasse.
    
    Elle était, à nouveau, divine. Elle avait revêtu une robe blanche ample et évasée, dévoilant à chaque pas ses jambes parfaites. Elle portait ses tropéziennes aux pieds et semblait si petite par rapport à ses talons vertigineux de la veille. Son décolleté s’ouvrait généreusement sur ses seins, retenus par un soutien-gorge dont la bride blanche dépassant sur son épaule, nous indiquait la présence.
    
    Elle était, aussi, coiffée et maquillée avec élégance et discrétion.
    
    Notre invitée la suivait, proche et décidée.
    
    J’eus un hoquet de surprise, que je tentais de maîtriser malgré moi mais qui n’échappa pas à Anaïs qui me regarda avec moquerie, comme me disant « cela s’annonce compliqué, mon petit biquet ! C’est une bombe atomique, ...
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