1. Anton Ep 12 Le quotidien des prisonniers


    Datte: 29/10/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... retournait Tooni sur le ventre, il écartait les jambes, Guss le guidait, il lui caressait l'intérieur des cuisses avec douceur.
    
    La machinerie moderne, c'est bien mais ça manque de tendresse se disait Tooni. Les mains de son époux elles, étaient pleine de tendresse. Suivaient les baisers que Guss lui dispensait dans tout le dos. Il mordillait aussi Tooni, pas pour lui faire mal et ce n'est certainement pas de douleur que Tooni gémissait. Il sentait la douceur des dents de son amant qui se refermaient sur ses fesses. Puis c'était un doigt qui se clissait dans son anus.
    
    Avec la machinerie les filles lui glissaient un gros truc dans le cul, c'était pas désagréable mais en y allant en douceur, progressivement, c'est mieux. C'est toute la différence avec la machinerie moderne. C'est beau la technique mais rien ne vaut la douceur du câlin.
    
    Puis c'était la force virile. Guss s'allongeait sur le dos de Tooni et c'est sa queue qui tentait une entrée en force. Il n'avait pas besoin de forcer beaucoup. Ça rentrait tout seul, Tooni était maintenant tellement habitué à se faire défoncer le cul que c'était du plaisir, rien que du plaisir. Bien lubrifié avec une bonne dose de salive la queue de Guss glissait sur toute sa longueur sans rencontrer aucune résistance.
    
    Guss appuyait alors son ventre contre les fesses de Tooni, ça aussi c'était une sensation que ne donnait pas la technologie. Mais quand Guss commençait à s'agiter, à ressortir avant de revenir, de plus en plus vite, de ...
    ... plus en plus fort. Si le plaisir restait toujours plus intense qu'avec la technique c'est uniquement à cause des caresses, de la chaleur du corps de Guss, de son poids, de sa masse.
    
    Avec la machine le plaisir n'est concentré que sur un seul point, avec Guss le plaisir pouvait venir de tout le corps. Ses mains qui passaient sur tout le corps, son visage qui lui aussi se promenait sur tout le corps de Tooni et qui s'arrête pour déposer un baiser, ou pour mordiller Tooni dans un recoin sensible.
    
    Tooni ne tremblait pas que du plaisir anal, il tremblait de tout son corps. Il aimait sentir le souffle de son amant, il tournait alors le visage vers le sien et ils s'embrassaient alors avec passion. Guss burinait alors avec encore plus de force le cul de Tooni qui ne pouvait même pas gémir, les lèvres de Guss devenant alors un bâillon très efficace.
    
    Guss prenait toujours son temps pour jouir, et quand il en arrivait là Tooni était déjà aux anges, et sous l'effet de l'orgasme il ne contrôlait plus ses gestes.
    
    Les deux amants se retrouvaient alors entre eux, ils avait l'impression d'être seuls et même les applaudissements de leurs camarades de captivité ne parvenaient pas, ne parvenaient plus à les distraire.
    
    Chacun se noyait dans les yeux de l'autre et c'est blottis l'un contre l'autre, confortablement enveloppés de leur double épaisseur de couvertures qu'ils finissaient par s'endormir.
    
    Le lendemain le programme habituel reprenait. Levé tôt, petit déjeuner copieux puis ...