Il me fait sentir femme (6) - Histoires de Sexe

Il me fait sentir femme (6)

... aussi longue que celle de mon Maître mais rose, totalement épilée et vigoureuse. Il était à demi bandé.

— Commence par les couilles et remonte.

— Oui chéri.

Au moment où la langue toucha ses testicules, sa bite prenait vigueur, l’excitation avait repris en moi également. Mon homme continuait ses caresses et, avec un doigt, touchait la zone entre mes petites couilles et mon anus. J’avais la chair de poule et un barreau dans la bouche.

— T’as raison, elle prend du plaisir, je vois bien. Une bonne suceuse. Je vais facilement lui trouver des clients.

— Continue de le sucer, j’ai à te parler. Ecoute bien ma petite, c’est que le début, j’ai des grands projets pour toi, des projets qui coûtent cher. On va te trouver des clients pour ça, mon pote Dimitri est très sélect, ce sera que des mecs sains, avec de l’argent. Ne crains rien pour ta santé, je me porte garant, t’as déjà mis ton clito entre mes mains, je sais que tu as déjà confiance. Ne t’avise pas d’arrêter de le sucer ! Demain on ira chez un endocrinologue que je connais, on va t’hormoner de manière à ce que tu sois prête le moment venu de faire la pute. Faudra être très gentille avec lui aussi pour qu’on puisse avoir les médocs au noir OK ?

— Mmmh.

— Parfait, je viens de te mettre 3 doigts, ça rentre comme du beurre, tu dandines du cul en plus, rends-toi compte à quel point tu aimes ça. Faudra faire des exercices pour bien raffermir ce cul. Tes excès de graisses dans la poitrine vont gentiment se ...

... transformer en seins, tu seras une créature magnifique. OK, maintenant que tu es courant de ton avenir, tu vas t’empaler à califourchon sur la bite de Dimitri, il va sortir sa langue et tu vas sucer sa langue doucement.

Je m’exécutais, sa bite était aussi un délice dans mon cul, je haletais... et je commençais à prendre sa langue en bouche de manière langoureuse. Je sentais la présence de mon Maître derrière moi. J’entendais son pantalon tomber au sol et je ne réalisais pas vraiment ce qui allait se passer.

Dimitri ne bougeait pas, c’est moi qui m’activais. Il me caressa le dos, puis m’attrapa les hanches et m’empêcha de bouger. Je ne comprenais pas... mon Maître posa ses mains sur mes lobes fessiers et les écarta le plus possible. Je sentais son gland sur ma raie, Dimitri ne déculait pas... Le gland descendit... puis s’enfonça venant glisser sur son compagnon. Je me sentais écartelée, mes poumons étaient vides, l’espace d’un instant je ne pouvais plus respirer, il n’y avait qu’une sorte de gémissement aiguë que j’entendais sortir de mon corps.

— Tu prends deux queues comme une cheffe ! J’ai vu des salopes pleurer la première fois.

— Maître... je... ha...

— Tu rien du tout ! Dans une minute on va commencer à bouger et tu vas te liquéfier, tu vas adorer ça, prépare-toi, fais appelle à l’avaleuse de queue professionnelle en devenir qui sommeille au fond de toi !

— C’est... c’est...

— Dimitri, on la baise maintenant !

Il y avait deux hommes en moi, des vrais ...