Marie à LaBaule
Datte: 26/10/2022,
Catégories:
fh,
vacances,
plage,
amour,
Oral
init,
Auteur: Patrick Paris, Source: Revebebe
... crème sur les jambes que j’écarte légèrement, le ventre, les épaules, les bras… ses mains hésitent, je suis anxieuse, va-t-il oser ? Il empoigne mes seins et les enduits d’une bonne couche de crème :
— Il faut bien protéger les zones sensibles.
Au contact de ses mains, je frissonne. Sentant le regard de ma belle-sœur, je me lève d’un bond : « ça suffit comme ça », laissant Bernard la main en l’air, un peu bête. Il a compris, il bafouille une excuse.
Afin de dissiper le trouble qui pourrait me trahir, je pars vers la mer :
— À l’eau.
Bernard se lève à son tour. Je devine son regard sur mes fesses à peine recouvertes d’un mini :
— Attends, je viens me baigner avec toi.
Après quelques mots, les pieds dans l’eau, où je le supplie de faire plus attention. Je retourne sur ma serviette en courant :
— L’eau est vraiment trop froide ! Brrr, je préfère le soleil.
— Tu as toujours été frileuse,
Mon frère rejoint Bernard.
Je reste avec ma belle-sœur. J’ai peur qu’elle n’ait deviné, surtout ne pas me défendre. Il faut que j’attaque :
— Il est gentil Bernard, mais un peu collant.
— Tu lui plais c’est évident. Hier, il t’a draguée ?
— Non, mais il a été très gentil. Je ne voudrais pas qu’il se fasse des illusions. T’as vu comment il m’a passé la crème, j’ai cru qu’il allait me caresser.
— Mais il t’a caressée.
— Oh !
Ma belle-sœur me rassure.
— Pas grave, il n’est pas méchant. Il a dû comprendre qu’il était allé trop loin.
Ouf, l’honneur est ...
... sauf.
Rassuré, je cuis au soleil tout le reste de l’après-midi.
Ma belle-sœur a des courses à faire, Elle s’adresse à son mari :
— Mon chéri, je dois passer au supermarché, tu m’accompagnes ?
Et se tournant vers Bernard :
— Vous pouvez rester encore un moment. Tu pourras raccompagner Marie ?
Hypocrite, je la fusille du regard. Je la prends à part :
— T’es folle, je ne veux pas rester seule avec lui.
— Tu ne risques rien, il ne va pas te violer.
— T’exagères.
Je la remercie dans ma tête, si elle savait.
Bernard reste sage à mes côtés, sans quitter ma poitrine des yeux. Au moins, j’ai la preuve que mes seins lui plaisent.
Au bout de dix minutes, il commence à s’habiller :
— On y va.
Je ne pose aucune question, je me rhabille et le suis.
Quelques minutes après, nous sommes chez lui. La porte à peine fermée, il m’embrasse. En en tour de main, je suis nue, debout dans son salon. À son tour, il enlève ses vêtements. Il me regarde en silence des pieds à la tête, cette fois je me sens belle, je lui tends les bras :
— Embrasse-moi.
Après un long baiser, il se détache un peu, et sans me quitter des yeux :
— Suce-moi.
Je ne me le fais pas dire deux fois, je me penche, prends sa queue déjà bien raide entre mes lèvres, je le suce, lui lèche le gland, j’aime coller mon nez dans ses poils, sa bite bien au chaud dans ma bouche. Rapidement, je me relève :
— Baise-moi.
Lui non plus ne pose aucune question. Il m’assoit sur l’accoudoir du ...