Sous influence (4)
Datte: 26/10/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Ethan60, Source: Xstory
... l’impression qu’elle revit dans le même temps cette soirée. Il faut dire que d’après ce que je sais, elle ne doit plus trop avoir les faveurs sexuelles de mon père qui s’est considérablement calmé avec l’âge. C’est bien le problème des couples recomposés avec une assez grande différence d’âge. Je vois aussi que son regard s’arrête sur les mouvements saccadés de mon bras. J’ai vraiment beaucoup de remords de mettre Isabelle dans une telle situation. Elle a toujours été si douce et bienveillante avec moi que j’ai du mal à supporter de l’humilier de la sorte. Mais il faut aussi l’avouer, je suis terriblement excité par la situation.
— Fines et désirables pour un jeune homme de 18 ans... Tu devais bien voir la bite de ton père la défoncer jusqu’à la garde ?
— Oui très bien.
— Ah dis-moi comment était son pubis, bien poilu ou rasé ?
— lisse.
— Encore une preuve de sa lubricité. C’est connu, les femmes qui se rasent le font pour exciter leur partenaire au maximum, elle aime le sexe, c’est certain.
J’observe Isabelle au même moment. Curieusement, elle évite mon regard, mais je sens le trouble qui l’envahit.
— Autre signe, comment s’exprimait-elle? Plutôt en gémissant ou plutôt en libérant ses cris ?
— Très rapidement en s’exprimant.
— Bon allez ta belle-mère est une bonne salope et crois-moi elle aime se faire baiser plus que faire l’amour... Bon comment s’est finie cette séance, il a éjaculé dans sa chatte ?
— Non.
— Il a craché dans sa ...
... bouche.
— Oui.
— Qu’a-t-elle fait avec le foutre ?
— Goûté.
— Oh la coquine, elle l’a gardé dans la bouche et ensuite avalé ?
— Oui exact.
— Et toi tu as joui à cet instant, j’imagine ?
— Oui et il y en avait vraiment beaucoup.
— Très bien, je vais te laisser, montre-moi ta grosse bite maintenant ?
Je déplace à nouveau le téléphone.
— Tu arrêtes tout de suite. Eh ben tu as le gland recouvert de jus. Ça t’a vraiment excité cette séance. Mais je t’interdis de te branler ou de baiser ta femme ou ta belle-mère. Je te veux disponible mercredi midi pour un déjeuner, en costard cravate et spécialement en forme. Allez, range ton matos, je t’envoie l’adresse par texto.
Puis elle raccroche. Un silence de mort s’abat sur la cuisine. Nous n’osons pas nous regarder. J’hésite à me lever le premier, car ma bite est encore gonflée dans mon pyjama, mais il faut que nous sortions de cette torpeur. Je décide de me lever et alors que je passe devant Isabelle, celle-ci se lève et m’enlace.
— Mon Dieu Thomas, comme je suis désolée de t’avoir montré un tel spectacle. Jamais je n’aurais imaginé que tu pouvais nous surprendre ton père et moi. Je suis mortifiée de ne pas avoir été assez vigilante vis-à-vis de toi. C’était mon rôle de ne pas t’exposer à un tel spectacle...
Je suis mal, car Isabelle est collée à moi, m’enserrant fort contre elle. Je sens sa poitrine gonflée comprimer mon torse, et ma bite tendue pressée sur son ventre. Je me demande même si elle n’appuie pas ...