Tombés du ciel (31)
Datte: 25/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... autre forme de procès. Elles frémirent et râlèrent quand elles sentirent les grandes mains de leurs hommes se poser sur leurs hanches, sentant déjà leurs sexes les pénétrer violement. Mais ce fut des bouches qui vinrent se coller à leurs chattes dégoulinantes.
— Ahhh, oooh, putain, ouiiii. Oh, Bruno, oohhh, vas-y mon salaud. Quel bon chien de me lécher comme ça...
— Oooo, ooooh, oooh, bordel Roger. T’es aussi pervers que ton bouc, non t’es pire... Ohhhh, merde, vas-y, bouffe-moi la chatte !
Les deux hommes s’abreuvaient déjà goulument du jus abondant de leurs compagnes, émettant leurs borborygmes habituels. Ils parurent même plus déchainés que d’ordinaire aux deux femmes qui sentaient leurs langues s’enfoncer profondément dans leurs sexes brûlants. Les appendices ne s’arrêtèrent pas là et allèrent également fouiller les anus vibrants des deux femmes, étalant mouille et salive sur les petits trous. Alicia et Bérénice en grognèrent de plus belle, lançant leurs culs en arrière pour que les langues s’insèrent par là aussi. Bérénice sentit la bouche de Roger se détacher d’elle et elle commença à grogner de frustration avant que deux doigts ne viennent lui remplir le petit trou et que deux autres ne se chargent de sa chatte.
— Alors vieille pute, on aime se faire ramoner les deux trous ? Tu coules comme une chienne en chaleur, hein ?
— Ooh, aaaah, oui, mon Roger. Je suis ta salope, fourre-moi... Aaaah, aah...
— Aaaaaah, oooooh, Bruno ! Ouiiii, oui, ...
... remplie-moi bien, lâcha Alicia d’une voix rauque.
— Ma petite chienne aime aussi avoir des doigts partout ? Et regarde-moi ça, ça coulisse comme dans du beurre tellement tu mouilles. Deux garages à bite, hein ? Bouge pas sale pute, je viens m’occuper du troisième !
Bruno sortit brusquement ses doigts des trous d’Alicia qui eut un hoquet de surprise. Il fit le tour et commença par fourrer ses doigts dans la bouche de la jeune femme qui se mit à les lécher avidement sans se soucier de savoir lesquels avaient été dans sa chatte ou dans son cul. Bérénice éructa à son tour quand Roger extirpa ses doigts de ses trous, provoquant unplop humide obscène. Il se plaça devant sa compagne et lui enfourna ses doigts entre les lèvres :
— Allez, vieille truie, lèche-moi ça. C’est bien, c’est bien, t’es une bonne chienne. Une vieille trainée qui lèche tout ce qu’on lui donne.
— Mmmhh, mmmmh, répondit-elle difficilement.
— Oui, alors ma cochonne tu vas lécher ça aussi !
Roger présenta ses couilles poilues à Bérénice qui entreprit de les badigeonner de salive, de les suçoter et de les gober à grand renforts de bruits de bouche libidineux. Imitant son ainé, Bruno donna ses couilles en pâture à Alicia qui s’employa dessus comme une folle ; léchant, aspirant tout ce qu’elle pouvait.
— Une vraie salope, une pute comme il faut, Alicia ! Allez, lèche, aspire, suce ! Oui, connasse, c’est bon, c’est bon. Allez, passe à la suite, dit-il insérant brusquement son gland entre les lèvres ...