Nouvelle ange (4) - Histoires de Sexe

Nouvelle ange (4)

… Nous roulons une dizaine de minutes. Moi à la place du mort et Martial derrière, ils sont silencieux, Josèphe consulte son téléphone et envois plusieurs messages tout en conduisant. On se gare devant une station service désaffecté perdue au milieu de nul part. Josèphe descend et entre dans la station. Je distingue une dizaine de voitures garées, des portières claquent dans la nuit et une dizaine de silhouettes sombres le suivent à l’intérieur. Je reste seule avec Martial toujours muet. Je n’ai pas réagis tout à l’heure quand il m’a parler de rencontrer des amis, sans doute sous l’effet de l’alcool et de la douche, mais maintenant je commence m’inquiéter. De longues minutes passent. Le vieux reparaît et me fait signe de le rejoindre.

- Tes amis s’impatientent

Il fait froid, il me guide par le bras à l’intérieur. Je suis accueillie par des lampes torches que l’on braque sur moi. Je me protège d’une main devant les yeux pour ne pas être éblouie. Mon hôte me lâche, les faisceaux m’encerclent et se rapprochent. Sans préambule une main se pose sur ma hanche, une sur mon sein, des mains surgissent de partout et me touche. Je garde mon calme, je me laisse manipuler. Des mains passent sous mon haut, atteignent le bout de mes seins et tirent sur mes anneaux, on pelote mon cul. Les rayons fusent dans tous les sens, des visages difformes cherchent à m’embrasser. A croire que l’odeur de pisse que je dégage les rend fous. Le premier bouton de mon short cède, les autres suivent, ma ...

... fente découverte est prise d’assaut, on se presse à tous mes orifices, je serre les cuisses pour limiter les doigts qui me fouillent. On attrape mes mains pour les presser à des entrejambes, on se frottent à mes hanches, on me force à m’agenouiller, les braguettes s’ouvrent.

- Bonsoir messieurs !

L’étreinte se desserre, je connais cette accent, c’est Yuri.

- Baissez vos armes, laissez la respirer. On voit rien ici, tiens éclaire nous.

Le Josèphe allume et dispose des bougies sorties du sac que Yuri lui adonné. C’est grand et délabré, il reste un comptoir, des étagères et trois piliers, les murs sont tagués, le sol est jonché de gravats. Les hommes que je discerne ne sont pas plus sexy que le décor. On aligne des palettes on y jette un grand matelas qu’on recouvre d’un drap. Je me suis rhabillée. Yuri s’approche de moi.

- Je ne suis pas sure d’en avoir très envie.

- Ne t’inquiète pas je veille sur toi, personne ne te fera de mal. Déshabille toi.

Cette homme a une emprise sur moi. Dans ce chaos lui seul est beau. Je passe mon haut par dessus mes épaules et le laisse tomber à mes pieds. Je déboutonne et fais glisser le short sur mes chevilles, je me débarrasse de mes chaussures. Je suis nue aux ordres de Yuri. Il me fait monter sur le matelas.

- Éclairez par ici

Aussitôt tous les faisceaux convergent. Il me présente à l’assemblé comme une prisonnière au marché aux esclaves.

- Montre nous comme tu es belle, caresse tes seins.

J’obéis en silence. ...