Jeux exhibitionnistes (1)
Datte: 23/10/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... réalisant trop tard que ma voisine devait m’apercevoir aussi, nue, dans l’entrebâillement de la porte.
— Putain, qu’est-ce que tu fous, s’indigna Carine, en s’engouffrant dans mon entrée.
— Tu vois ce que j’ai ressenti, chez toi, dans l’escalier ?
— Oui... La honte... Mais ne compte pas sur moi pour te plaindre.
— J’espère que la voisine et ses amis ont vu ce que tu tenais dans ta main.
— Je crois que oui. Mais au fait... Tu te rappelles ce que tu m’as promis ?
— Je t’ai promis quelque chose ?
— Ne fais pas l’innocente ! Tu m’as dit que je pourrai te faire ce que je veux, avec ça... me dit Carine, en me montrant le gode ceinture.
— Ah oui... Peut-être... Ça tombe bien, j’ai envie de jouir.
— Tu vas être servie. Mais après ce que tu m’as fait faire, n’espère pas une petite partie de cul tranquille, sur le canapé, ou dans ta chambre.
Carine se dirigea vers la porte-fenêtre donnant sur ma terrasse, qu’elle ouvrit en grand, et elle alluma l’éclairage. Elle me prit par le bras, et me fit sortir. La température de l’air s’était rafraîchie, mes seins durcirent, et leurs pointes se dressèrent fièrement.
Aucun logement dans mon immeuble n’avait de vue sur ma terrasse, mais un coup d’œil vers l’immeuble voisin me permit d’apercevoir de la lumière à certaines fenêtres. Et même des silhouettes à l’une d’elles.
Carine m’obligea à installer le gode ceinture et à attacher le harnais autour de sa taille. Puis elle m’amena sur mon bain-de-soleil, resté ...
... installé après mes premières séances de bronzage intégral de l’année, et me fit agenouiller sur le matelas. Installé en levrette, le cul bien cambré et offert, je reçus une pluie de claques sur mes fesses, rapidement marquées de traces rouges. Je poussai quelques plaintes, pas très convaincantes, car la mouille qui coulait sur mes cuisses trahissait le plaisir que cette situation scabreuse me procurait.
Carine enjamba le bain-de-soleil et, à califourchon, présenta l’énorme gland de résine à l’entrée de ma chatte. J’avais trop envie de me faire défoncer, et je passai une main entre mes cuisses, pour ouvrir moi-même mes grandes lèvres.
Elle prit mes hanches dans ses mains, pour m’immobiliser et d’une simple poussée, le gode franchit la porte de mon intimité. Je ne pus réprimer un petit cri de satisfaction, quand il s’enfonça en moi, lentement. Je contractais mon périnée, pour masser l’olisbos, comme s’il s’agissait de la vraie queue d’un mec, et des ondes de plaisir traversaient mon ventre. Le godemichet me pénétrait de plus en plus profondément, remplissait ma grotte inondée de sève, et il commença des mouvements de va-et-vient, rythmés par les bruits humides de mon fourreau dégoulinant de cyprine.
Petit à petit, les coups de boutoir de Carine se faisaient de plus en plus rapides. De plus en plus violents. Mes seins ballotaient en cadence. Je gémissais. Je criais. Je me tortillais, je m’empalais moi-même sur la longue tige de silicone, pour essayer de la faire rentrer ...