Vive le confinement en famille ! (2)
Datte: 22/10/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Docmature, Source: Xstory
... n’avais jamais ressenti cela !
Je retrouve la force de sortir de la douche pour m’essuyer. Je me regarde dans le miroir, honteuse d’avoir joui ainsi. Mon Dieu, mes chéris, qu’avez-vous fait de votre mère ?
Mon Dieu, que m’arrive-t-il ? Qu’ai-je fait pour ressentir un tel désir incestueux et inavouable que je n’arrive pas à combattre ? Comment chasser ces images si sulfureuses qui s’imposent dans mon esprit ? Ces images de deux jeunes faisant l’amour ensemble, de deux jeunes qui sont frère et sœur et qui sont mes propres enfants, la chair de ma chair ? Et cette image où je me vois participer à leurs ébats et qui irrémédiablement me donne l’envie de me joindre à eux et me fait mouiller, pourquoi est-elle si présente ? Et surtout comment l’oublier afin de reprendre une relation normale avec Christian ? Car je sais qu’il ne l’accepterait pas, cela en serait terminé de notre couple, de notre relation si harmonieuse, de notre bonheur. Ce matin encore, la vie me paraissait si simple...
Je trouve cependant la force de m’habiller et de vaquer à mes occupations en cette fin d’après-midi. Ah si, Christian m’a appelée pour me donner des nouvelles de sa mère, rien de grave, ce n’était que de l’hypotension orthostatique, elle s’était levée trop vite de son lit. Mais il préfère rester avec elle cette nuit. « On ne sait jamais » me dit-il. Il m’a aussi demandé si tout allait bien à la maison et a pris des nouvelles des ...
... enfants. Et bien sûr, je lui ai répondu normalement, en le rassurant, le pauvre s’il savait... Nous nous sommes embrassés au téléphone avant de nous quitter. Mais en raccrochant, j’ai senti quelques larmes couler sur mes joues...
Le soir, nous dînons tous les trois, avec Lisa et Paul, sans échanger beaucoup de mots. Les deux enfants ne savent certainement pas quoi dire et, sans doute, ont-ils peur de ma réaction. Peur que je n’accepte pas, que j’essaye de les raisonner, que je menace de tout révéler à leur père, que je parte dans une colère incontrôlable... Mais je ne dis rien et d’ailleurs que dire ? Comment pourrais-je leur avouer que j’ai pris un plaisir si jouissif en pensant à eux, seule sous la douche ? Comment leur avouer que j’ai follement envie de partager ces jeux interdits ? Alors, peut-être, le mieux est de ne rien dire. Le dîner se termine, ils m’aident, dans un silence pesant, à débarrasser la table puis nous montons dans nos chambres.
Je me change, mettant ma petite nuisette pour la nuit et je m’allonge dans le lit conjugal pour lire, en tentant d’oublier, de chasser toutes ces images qui reviennent constamment à mon esprit. Ces images interdites, incestueuses, de sexe entre une mère et ses enfants. Ces images qui font que ma main, encore une fois, descend vers mon intimité à la recherche du plaisir.
Une trentaine de minutes passe, quand on frappe à la porte de la chambre...
(A suivre)