1. COLLECTION DOMINANT DOMINE. La bombe (1/1)


    Datte: 26/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    • Juliette, nous rentrons au lycée aujourd’hui, c’est sûr, c’est cette année que nous nous débarrassons de cette putain de membrane.
    
    • Arrête de dire des conneries, ça fait trois ans qu’à chaque rentrée, tu me dis la même chose.
    
    • Mais cette année, c’est certain, ici c’est le lycée, la plupart des mecs, ils ont déjà baisé, ils vont tous chercher à en profiter, à nous d’être plus maligne qu’eux, cochon qui s’en dédit, tape là Véro.
    
    Nous nous tapons dans la main, je sais que si elle veut la même chose que moi, j’aurais plus de mal, j’ai des seins qui ont trop poussé et les garçons l’an passé m’appelaient la baleine, alors qu’elle est devenue un joli petit lot.
    
    Certes, j’ai de deux ou trois kilos de trop, soyons zen quatre, mais de là à me prendre des râteaux chaque fois qu’un mec me plaît, il y a un monde et j’espère contourner cet obstacle, même si le monde, c’est énorme.
    
    • Véronique, tu sembles soucieuse, sois cool, tu es jeune et belle, la vie t’appartient.
    
    Celui qui vient de me dire cette phrase, c’est le sexe du moment de ma mère, depuis cinq ans que mon père est parti, elle s’éclate à quarante ans avec des mecs plus jeunes d’au moins vingt ans.
    
    Elle en change comme d’autres changes de pantalon, qu’elle sait leur enlever rapidement quand elle les rencontre dès la première fois.
    
    Johnny à vingt-huit ans et la fait monter au sommet de ce monde que je veux conquérir, ils baisent tellement, ...
    ... m’empêchant de dormir presque tous les soirs.
    
    Heureusement, il part deux fois sur trois vers une heure du matin, il a son logement à deux tours de chez nous.
    
    Comme je l’avais prévu, deux mois après, je suis toujours vierge et ma mère s’embrouille avec Johnny, j’entends la porte claquer quand elle le fiche dehors, cette nuit-là, il est vingt-deux heures quand il part et je passe une nuit tranquille.
    
    • Véro, rends-moi service, tu n’es pas sans savoir que Johnny m’a quitté alors que j’ai tout fait pour le retenir, il a laissé quelques affaires, je préférerais que tu lui rapportes.
    
    La salope, il l’a quittée.
    
    « Pauvre con, tu ne sais même pas baiser, tire-toi, j’en ai de plus jeunes qui m’attendent. »
    
    C’est par cette phrase, que j’ai entendu quand il a claqué la porte, qu’ils se sont séparés.
    
    Je me rends dans la tour où loge Johnny avec le carton que maman m’a donné.
    
    • Véro, toi ici, je n’avais pas vu tout à ma passion pour ta mère, la jolie fille que tu es, tous les garçons doivent être à tes pieds.
    
    • Comment peux-tu dire ça Johnny, les garçons, aucun ne veut de moi, ils doivent me trouver trop grosse.
    
    • Ce sont des fous, bébé, deux trois retouches et je vais faire de toi une bombe.
    
    Il me prend par la main et me fait tourner sur moi-même, comme le ferait une ballerine de l’Opéra, en tournant, je m’enroule jusque sur sa poitrine, il est un peu fada, mais à une belle musculature.
    
    Mes seins finissent en contact avec les siens, j’ai très chaud et quand ...
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