1. Jour trois


    Datte: 21/10/2022, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, magasin, essayage, voyage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral fgode, fdanus, fsodo, jouet, init, initiat, Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe

    ... comptoir d’exposition pour y vendre leurs productions.
    
    Nous entrons chez Giuseppe F. Qui dispose de vitrines poussiéreuses avec quelques bibelots aux couleurs chatoyantes à la transparence cristalline. Mathilde contemple le travail et tandis que je tiens à lui expliquer les principes de base de la verrerie, Giuseppe – en personne – sort de son atelier pour nous accueillir…
    
    — Bonjour, bienvenues dans mon atelier… Ici, tout est fabriqué à la main, soufflé à la bouche et les créations sont toutes originales…
    — C’est magnifique, c’est fin, délicat, coloré, mais cela doit être particulièrement fragile… l’interrompt Mathilde.
    — Pas du tout, Madame, oui, c’est du verre, mais beaucoup moins fragile que vous ne le pensez. Oh, bien entendu, si vous le faites tomber sur un sol en marbre, de quelque hauteur que ce soit, vous le briserez… Mais autrement, non, ce n’est pas fragile…
    — C’est vous qui fabriquez tous ces objets ? demande Mathilde.
    — Oui, bien entendu… de l’autre côté de ce mur… Vous voulez voir ?
    — Oh oui, s’il vous plaît…
    
    Nous suivons Giuseppe dans son atelier, frappé de prime abord par la chaleur qui s’en dégage. En cause, l’immense four, la gueule ouverte qui fait aussi rayonner une lueur jaune orangé tirant sur le rouge dans tout l’atelier.
    
    Devant le four, une jeune femme, la canne à la main, cueille une boule de pâte de verre en fusion… Elle a les bras nus, luisants de sueur. Vêtue d’un marcel très échancré qui ne cache pas grand-chose de sa poitrine dont ...
    ... on peut se délecter jusqu’à la pointe brune de son sein laiteux… Une mèche blonde barre sa joue dégoulinante de sueur… Avec un mouvement gracile et étudié, elle balance la canne avant de l’emboucher et par petits soufflements, en prenant soin de boucher l’entrée au moyen de son pouce, et fait grossir la boule de verre… tout en en surveillant le résultat. Puis, rapidement, elle gagne un banc de travail où elle va œuvrer et peaufiner la forme définitive au moyen de moules en bois, trempés dans l’eau. Avec de grosses pinces de fer, elle forme une gorge.
    
    Giuseppe nous a abandonnés pour aller chercher, à son tour, et dans une autre partie du four, une autre canne dont il vient de souffler un petit disque. Après l’avoir replongé quelques instants dans la gueule brûlante du four, il arrive, sans précipitation, pour l’accoler à la bulle de verre. La jeune ouvrière, veille à l’ajustement et au centrage précis et lorsqu’elle estime que la pièce est solidement fixée, avec sa pince en ferraille et d’un geste sec, elle sépare sa pièce de sa canne, laissant à Giuseppe, le maître verrier, le rôle de finisseur…
    
    Mathilde ne perd aucun mouvement, aucun détail qui se déroule comme une sorte de ballet devant elle… Elle garde les yeux et la bouche grande ouverte, goûtant la technicité des gestes et espérant apercevoir le travail terminé… Malheureusement, Giuseppe lui explique qu’avant de toucher la pièce, il faudra encore plusieurs heures de recuite avant de longues heures de redescente en ...
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