Les Zykses - Histoires de Sexe

Les Zykses

... pas sa qualité principale. Les préliminaires c’est bien, mais il faut savoir passer aux choses sérieuses en temps utile.

— Bon, ça suffit, je prends les choses en main, ironisa-t-elle en se saisissant des bourses de son amant.

Dans la pièce voisine, un Étienne tout intimidé faisait face à une Séverine toute nue, agenouillée sur le lit. Elle déballa le matériel tandis que son amoureux tremblait.

— Tu es sûre que c’est une bonne idée ?
— Mais oui, nous n’allons pas vivre toute notre vie en nous regardant dans le blanc des yeux, ne sachant pas quelle attitude adopter. J’ai une énorme envie de faire des bêtises, tout comme nos parents en ont fait.

Le pantalon sur les chevilles, Étienne admirait le spectacle de sa queue gobée par la bouche pulpeuse de son amie. Il caressait les seins de Séverine et en agaçait les tétons et aréoles. Elle lui rendit la pareille en passant l’ongle du pouce sur les testicules. Elle s’arrêtait de sucer sa friandise pour faire aller et venir ses doigts le long de cette hampe, le pouce venait caresser la tête du missile, provoquant des tremblements dans tout le corps de son amoureux. Elle prenait plaisir à lui prodiguer cette douce torture.

Allongés sur le grand lit, Kévin enlaçait Sandra, son torse collé au dos de la jeune femme. Avec une certaine appréhension, il lui avait empaumé les seins, sans qu’aucune réaction ne se produise. Encouragé, il embrassait sa compagne dans le cou, lui mordillant les oreilles et les épaules.

— Tes ...

... mains sont chaudes et douces, murmura Sandra.
— Pas autant que tes seins.

Ils se tenaient dans la position dite de la petite cuillère, et la jeune femme sentait un objet contondant lui caresser les fesses. Elle glissa la main derrière elle pour s’en saisir, le présentant aux portes de son paradis.

Il ne se le fit pas dire deux fois et se glissa dans l’antre chaud et humide, ce lieu mystérieux objet de tant de légendes.

Elle lui prit la main et la guida vers son autre point sensible. Il le caressa avec tendresse, le fit rouler sous ses doigts tandis qu’il allait et venait en elle. Elle ponctuait chaque pénétration d’un petit cri et d’un coup de reins.

Ils furent très vite sur orbite et ne prêtèrent plus guère attention aux cris de plaisir qui émanaient des autres chambres.

Palais de l’Élysée, centre de commandement Jupiter, 2 heures 05

— Monsieur le Président, nous les avons localisés !
— Zouette, envoyez une équipe les récupérer, mais surtout pas de violence, ze ne veux pas les effrayer. Nous devons les convaincre de notre bonne foi et surtout de travailler avec nous.
— Nous envoyons avec nos gros bras le ministre de l’Enseignement supérieur et la secrétaire d’État à la Condition animale, madame Bolisant.
— Pourquoi emmener Anna Bolisant ?
— Parce que c’est la seule qui soit comprise des Français. Je l’emmène en tant que négociatrice.
— C’est vrai que les autres ont fait énarquien comme première langue !

La colonelle se permit un petit sourire, puis ...