1. Un plaisir partagé est un plaisir double (26)


    Datte: 20/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Chantalbob, Source: Hds

    ... gâteau. Nous nous retrouvons ainsi à genoux, bouche ouverte prêtes à recueillir leur foutre. Ils astiquent vigoureusement leur chibre. Dans un spasme, Ils aspergent nos gorge de foutre et nous avalons tout leur sperme chaud.
    
    Après quelques minutes de répit, nous ne sommes pas rassasiés. Nous remettons le couvert.
    
    Annie est venue s’empaler sur mon mari, les fesses ainsi tournées vers moi. Quelle vue, je vous ai déjà dit qu’elle était belle ? Son cul, aussi, est l’une des plus belles choses qu’il m’ait été donné de contempler. Coulissant sur son sexe, son cul me nargue, l’œillet marron de son anus semble attendre son mari pour une double pénétration.
    
    À mon grand étonnement, André ne les rejoint pas et reste en moi tout en observant sa femme en action à nos côtés. Elle gémit intensément maintenant. Bob semble vouloir la rejoindre et accélère à nouveau le rythme de ses pénétrations, en parfaite synchronisation avec les mouvements verticaux d’Annie. Ils sont tous deux balayés par la jouissance. Pour la seconde fois, il éjacule en elle, elle râle de plaisir, puis s’effondre sur le torse de mon chéri. Je ne sais pas ce qui nous a tous excité de la sorte, mais nous étions tous chauds bouillants. Les mecs qui se masturbaient devant nous, avaient bien attisé notre libido et celle de nos hommes en nous voyant nous mettre à table devant eux en leur révélant nos chairs intimes. En tout cas notre séjour au cap commençait bien.
    
    André stoppe son agitation et s’extrait de mon ...
    ... vagin. Il me regarde, il ne fait rien, je lui fais signe de venir, moi aussi j’ai encore envie, moi aussi j’ai envie de jouir comme ma copine.
    
    Il avance. Mes cuisses s’ouvrent encore plus sous la pression de ses hanches. Son sexe est là. Il entre. Cambré, il me laisse la vision de sa queue qui disparaît en moi. Je vois, comme au ralenti, son ventre venir au contact du mien. Il est tout en moi. Je le sens palpiter, un instant, son bâton brûlant ne bouge plus.Tout doucement mon amant me possède. On dirait qu’il déguste chaque instant, avançant, reculant, laissant ma fente entrouverte pour l’accueillir à nouveau.
    
    C’est bon, si bon, dit cet homme qui me baise lentement, les yeux fermés, ne les ouvrant que pour me donner un baiser, juste un effleurement sur mes lèvres humides. Moi aussi, lentement je sens monter mon plaisir. Il doit le sentir à mes soupirs et au fait que je me tortille pour encore mieux le sentir. Alors, et alors seulement, son regard rivé au mien, il accélère. Qu’il me baise, me bourre, m’utilise comme une pute. Mais un reste de lucidité me retient. Je mords mes lèvres au sang afin de ne rien révéler à mon chéri qui est à quelques pas. C’est bon. Si bon. Il coulisse en moi. Je suis humide. Je suis chaude. Réceptive. Abandonnée. Et puis, je sens la chaleur monter encore. Je transpire. Je jouis. Oui, je jouis. Un orgasme. Plus rien ne compte que cette joie. La porte du paradis est franchie. C’est la seule qui compte.
    
    À son tour mon amant jouit, il crache sa ...
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