La femme du proprio - Histoires de Sexe

La femme du proprio

... me stimuler un peu…
— Dis donc mon cochon, faudrait voir à pas pousser le bouchon trop loin… juste un peu alors.

Elle relève sa robe jusqu’à la taille, juste assez pour voir qu’elle porte un porte-jarretelles avec des bas couleurs chair avec juste un petit string.

— Alors, satisfait ?
— Presque…
— Dis donc, qu’est-ce que tu veux de plus ?

Je lui prends la main et la pose sur ma bite tout dure…

— J’aimerais que vous me masturbiez…

Elle ne s’attendait visiblement pas à ça, elle reste quelques instants sans réaction et, alors que je me branle doucement, avec sa main elle me repousse, attrape ma bite et recommence à me masturber lentement en me regardant.

— Tu aimes ça petit cochon ?
— Ouiiii, c’est super, continue…

D’une main, elle me branle lentement et de l’autre m’astique les couilles ; je suis au bord de l’explosion. Je me tourne vers elle, lui attrape la tête et l’embrasse. Après un moment d’hésitation, elle ouvre la bouche et nos langues s’entremêlent. Tout en l’embrassant, elle continue à me masturber et moi je commence à lui peloter les fesses, les seins, l’entrejambe.

— Humm, mon cochon, tu m’excites, donne-moi encore ta langue.

Et elle me renfourne sa langue dans ma bouche, je la pelote de plus belle, détache sa robe, la fait glisser jusqu’à ses hanches et dégrafe son soutien-gorge, Je lui malaxe les seins et abandonne sa bouche pour lui téter les mamelons.

— Oooooh, petit vicieux, j’aime ça, oui, vas-y, mange-les, mords-les.

Tout ...

... en m’affairant sur ses seins, d’une main j’écarte son string et commence à la doigter ; elle est trempée tellement elle mouille. Elle écarte les cuisses en grand pour me laisser faire et je la doigte de plus en plus fort. Elle gémit de plus en plus, je me mets alors entre ses jambes, lui enlève son string et lui enfourne ma langue dans sa fente.

— C’est bon, ouiiii bouffe moi la chatte…

Elle est complètement offerte, et me plaque littéralement le visage sur sa chatte. Je joue avec ma langue sur son clitoris et il ne faut pas longtemps pour que je la sente se crisper, son corps plein de spasmes.

— Hmmmm, ouiiiiiiii, mon salaud, tu m’as fait du bien.

Et alors qu’elle se redresse :

À moi maintenant !

Je présente ma queue face à elle :

— Allez, suce-moi.

Je lui saisis le visage et enfourne ma bite dans sa bouche.

Elle ne rouspète même pas, attrape ma bite et me pompe comme une folle, elle m’aspire, me lèche, l’enfourne jusqu’au fond de sa gorge tellement fort qu’il ne me faut que quelques minutes pour lâcher tout mon jus dans sa bouche. Elle continue de me pomper jusqu’à la dernière goutte tout en me regardant droit dans les yeux.

Elle se lève, m’embrasse à nouveau :

— Merci c’était merveilleux, tu m’as bien fait jouir, mais promets-moi de ne raconter à personne ce qu’il vient de se passer.
— Promis, juré !
— Merci, et puis c’est dans ton intérêt, on pourra recommencer alors… me dit-elle avec un sourire et un regard lubrique.

Mais moi j’en ...