Sandrine, ma femme, en stage de soumise (3)
Datte: 19/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DEBORAH SOUMISE, Source: Xstory
... évidemment, le deuxième client n’a pas perdu une miette de tout ça, et il est maintenant carrément à quelques centimètres du matelas.
La fellation touche à sa fin. La langue à Sandrine est encore sur les couilles quand le client se lève.
— Ahhhh ! Ca fait du bien de tirer un coup !
Il prend ses affaires par terre et se rhabille. Le patron du sex-shop fait de même.
Sandrine s’est à nouveau écroulée, épuisée, enspermée de partout.
Le patron du sex-shop va derrière son comptoir et donne quatre feuilles d’essuie-tout à Sandrine.
— Il n’y a ni point d’eau ni douche ici. Essuie-toi comme tu peux, fais pour le mieux ! Tu en as pris de sacrées giclées, dis donc !!
Ma femme prend les deux premières feuilles et commence à essuyer ses seins. C’est gluant. Pas spécialement facile à ramasser. Puis elle prend les deux autres feuilles et essuie son ventre, son nombril, puis son sexe.
Elle jette l’essuie-tout souillé dans la corbeille d’une des cabines et se lève.
— Attends ! Regarde ! Il y a du sperme qui a coulé sur le matelas.
Il lui donne un spray désinfectant et deux autres feuilles d’essuie-tout.
Sandrine essuie le foutre qui a dégouliné en trois endroits sur le matelas en plastique. Puis jette les feuilles et lui rend le spray.
Elle veut prendre ses bas et sa robe sur la chaise.
Le patron l’interpelle.
— Eh ! Qui est-ce qui t’a autorisée à te rhabiller ?? Tu restes à poil !
— Viens ici boire un soda !
Elle vient vers le comptoir. Il lui ...
... donne une eau gazeuse qu’elle boit avidement tellement elle a soif.
Le premier client en profite pour lui caresser distraitement les fesses.
— Dis-moi, tu le fais souvent cocu ton mari ?
— Euh... non... non... Jamais...
— Ah bon ! Parce que dis donc, te faire tringler pendant plus d’une heure et demie par deux inconnus par terre sur un matelas, ça fait un peu « fille facile », non ? Un peu « pute », même !!
Sandrine baisse les yeux et ne répond pas.
Pendant qu’ils discutent, 3 autres hommes entrent en 10 minutes dans le sex-shop. Inutile de préciser qu’ils ne quittent pas ma femme des yeux et se rapprochent de plus en plus. Ca interpelle le patron.
— Dis donc, avons cinq clients... Ca commence à faire beaucoup. Ca devient chaud... Très chaud...
— Rhabille-toi ! Parce que si tu restes à poil, tu vas finir en gang-bang, je le sens !
Il n’a pas fallu le dire deux fois à Sandrine qui enfile ses bas, remet ses hauts talons et sa robe sous les regards des mecs qui n’en perdent pas une miette...
Le patron lui remet le gode, dans un petit sac en papier, en lui disant « n’oublie pas ton petit cadeau ! ».
Ainsi se termine l’épisode du sex-shop. Le carnet de liaison n’en dit pas plus, si ce n’est qu’à la fin, avec tous les hommes présents et Sandrine à poil, ça devenait très très chaud.
L’après-midi était déjà bien avancé.
Dans la voiture, Sandrine se sentait mal à l’aise. Déjà parce qu’elle n’avait pas pu nettoyer correctement le sperme qui avait ...