Marinette 1
Datte: 19/10/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clitounet, Source: Hds
J'étais un ami d'enfance de Marinette, je l'avais connue quand elle avait 13 ou 14 ans et nous étions une petite bande d'amis qui faisaient souvent la fête ensemble.
Il y avait seulement deux filles pour trois garçons, et si nous étions proches, nos contacts n'allaient pas plus loin que les bisous sur les joues.
Marinette avait des origines Créole, elle n'était pas très grande mais migonne.
Nous nous sommes perdus de vue vers l'âge de 20 ans, quand j'ai fait mon service miltaire.
Notre passion commune était la musique, je savais qu'elle jouait du piano depuis toute petite, un jour, j'ai vu sur les réseaux sociaux qu'elle donnait un concert à Poitiers, où elle habitait.
J'ai réussi à la contacter, nous avons renoué et j'ai reçu une invitation en retour.
Après le concert, nous sommes allés boire un verre, elle était avec quelques amis qui sont partis peu après et nous somme restés seuls.
Nous avons longuement discuté, elle m'a dit qu'elle vivait seule depuis quelque temps, qu'elle avait été obligée de rompre avec son petit ami qui était trop instable, il l'avait trompée et même giflée quand elle avait protesté.
N'étant pas de Poitiers, je lui ai demandé si elle connaissait un hotel sympa, elle m'a di "tu n'y penses pas, tu vas dormir chez moi et c'est tout !", je n'ai pas refusé évidemment.
Son appartement était comme elle, petit mais très migon, décoré avec un goût exquis.
Elle m'a servi du rhum "arrangé" qui m'a bien chauffé, j'ai vu ...
... tout de suite qu'elle l'était également, elle m'avoua, "après un concert, il faut que je me saoule"..
Je lui ai pris la main, elle me l'a laissée, puis ses lèvres délicatement charnues, nos langues se sont mélées, j'ai pris un de ses seins qui m'a paru d'une fermeté incroyable à travers son soutien-gorge.
Finalement elle l'a dégrafé elle-même et j'ai découvert une magnifique poitrine, des seins en forme de poire avec des tétons presque noirs, je les ai tétés longuement, j'ai ouvert sa braguette et mis la min sur son sexe, le tissu de son slip était déjà trempé, elle protesta mollement, puis me laissa faire.
Je la déshabillai lentement sans lâcher ses lèvres, puis je retirai mes vêtements, je me tournais pour qu'elle ne voie pas mon sexe en érection.
Nous allâmes dans la chambre, elle s'étendit sur le lit, sur le dos, elle serrait les cuisses et je ne voyais qu'une toison noire bien taillée, le fameux "ticket de Métro.
Elle balbutia qu'elle avait un peu de mal à m'imaginer devenir son amant, quand nous étions gamins, il y avait une barrière invisible que nous ne franchissions jamais antre nous.
Je me mis à la caresser sur tout son corps, il était magnifique, sa peau était douce et ferme, elle sentait bon, elle frissonnait dès que j'effleurais un sein, ou que je posais la main sur son pubis.
Je promenais mes lèvres sur ses cuisses en essayant d'atteindre l'intérieur, là ou la peau est incroyablement douce et plus haut là où elle devenait humide et ...