Mes professeurs de plaisirs - chapitre 13 - Histoires de Sexe

Mes professeurs de plaisirs - chapitre 13

... chatte :

-« cela t’excite ma belle salope, hein »

-« oui M. »

Nathalie reçoit encore une bonne paire de coup, mon ventre est en feu tellement de l’entendre geindre m’excite. J’ai envie qu’on me fasse jouir.

M. Bruno enduit de gel un plug de forte taille et sans préparation l’enfonce dans le cul de Nathalie.

M. Bruno me doigte, pince mon clito et mes tétons. Il me détache.

-« je vais te baiser ma petite salope tu est bien chaude »

En sortant il lance, une soumise nymphomane est disponible au donjon.

Je m’agenouille et suce la queue bien raide de M. Il me relève, me positionne à 4 pattes sur le divan et me pointe la chatte et le cul à tour de rôle. Je jouis à plusieurs reprise. Épuisée je m’effondre dans la canapé.

Nouvel an 2020, j’ouvre les yeux, Edith est déjà à l’ouvrage. J’embrasse Edith, elle me dit

-« je n’ai rien partager avec toi »

-« la journée n’est pas finie »

Nathalie est allongée sur la méridienne, Sophie, Martine, et deux hommes sont dans la chambre au lit rond, Irina et M. Bruno ont du occupé la chambre qui leur est dédiée. Edith me dit que les autres ont fini emmêlé dans l’alcôve du fond.

Je dit à Edith que je vais prendre une douche car mon corps sens le cul et j’ai encore des envies. A peine ai-je allumer la douche, Edith me rejoint, et ...

... nous nous caressons, les seins arrogants et ses tétons géants frottent les miens. Nos mains caresses nos corps. La douce sensation de plaisir m’envahi. Les doigts experts d’Edith déclenche en moi la jouissance. Je m’accroupi et prend en bouche la fente de désir d’Edith. Elle gémit, je sais que je risque une douche de cyprine si son plaisir est intense.

Elle se lâche, je reçois son miellat à plein bouche. Nous nous remettons de se plaisir. Edith poursuit la préparation des petits-déjeuners avec mon aide et j’en profite pour me restaurer.

Ce réveillon va être la dernière « orgie » multi-couples pour un sacré bout de temps.

Ces derniers mois ont étaient un contrainte pour tous, malgré quelques transgressions, l’envie, l’euphorie n’était pas présent. Dans l’entourage direct de nos habitués nous ne déplorons aucun décès, des cas suspectés, cas contacts mais rien d’irréversible.

A l’heure où je clôture cet écrit, nous partageons la maison d’Irina et de M. Bruno. Martine a la tête entre les cuisses d’Irina et M. Bruno bien installer derrière moi lit mes lignes en triturant et pinçant mes tétons dressés. Je vous abandonne pour m’occuper de mon Maître.

Merci pour vos remarques et vos expressions de vos ressentis par mail.

Martine et moi, sous l’autorité de M. Bruno et Irina vous remercie