Une chute de vélo (3)
Datte: 18/10/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mandrakke, Source: Xstory
Je pousse la porte de sa chambre délicatement, Julie appuie sur l’interrupteur et une douce lumière vient éclairer la pièce. Un grand lit au centre, une grande armoire à quatre portes en face, deux tables de nuit de chaque côté, un meuble bas à droite et une porte-fenêtre donnant probablement sur un balcon à gauche. Je dépose délicatement mon précieux chargement sur le bord du lit. Ses bras qui m’enlacent ne me lâchent pas.
— Tu es très fort, me dit-elle, tu m’as portée sur les quatre étages et encore maintenant sans me faire le moindre mal à mes blessures.
— Facile ! Tu pèses à peine plus lourd qu’une plume !
Ses bras me libèrent et j’en arrive presque à le regretter, malgré la fatigue que sa dernière pipe m’a procurée, je veux bien refaire le trajet dans les escaliers plusieurs fois avec elle collée à moi. Je n’en reviens pas d’être accro à cette fille à ce point en si peu de temps. Elle se couche sur le dos, les jambes au sol.
— Tu veux bien m’aider ? Dit-elle en prenant appui sur sa jambe droite et levant légèrement son bassin.
— Oui, à faire quoi ?
— Je ne vais pas dormir habillée !
Badaboum ! Mon rythme cardiaque repart à fond, mon sexe que j’avais rangé dans mon pantalon pour la porter redevient dur rien qu’à savoir que je vais la voir nue ou presque. Si le reste de son corps est aussi beau que son visage et ses jambes, je ne vais pas débander de la nuit...
Avec d’infinies précautions pour ne pas raviver les blessures de son côté droit, je lui ...
... retire son short. Je n’aurais jamais pensé prendre autant de plaisir à déshabiller une fille si lentement. Le short est sur ses chevilles et je vois sa culotte, un modèle sportif gris clair sans la moindre dentelle, mais qui épouse parfaitement ses formes, et qui laisse percevoir une large tache humide dans son entrejambe...
Je n’ai pas le temps d’imaginer comment ni depuis combien de temps sa culotte est dans cet état, son bassin est toujours soulevé.
— Continue s’il te plaît, je dors toujours nue !
Puuuff, je dois être rouge foncé tellement mon cœur bat fort et vite. Sans rien dire, j’applique le même traitement à sa culotte, qui laisse apparaître son sexe parfaitement rasé sans aucun poil. Je suis comme hypnotisé, je n’arrive pas à détacher mon regard de cette vision.
Il faut dire que ma dernière aventure remonte à six mois, c’était un coup vite fait, le soir dans un sous bois, sans aucune passion ni plaisir, juste pour tenter de rompre la monotonie de mon célibat.
— Hervé ? Ça va ?
— Heu... Oui, oui.
— Tu penses que tu vas tenir combien de temps sans respirer ?
— Quoi ?
— Tu es tout rouge ! dit-elle en rigolant. Tu n’as jamais vu un sexe féminin ?
— Tu te moques de moi !
— Non pas du tout. Réponds s’il te plaît !
— Si... Mais... Enfin...
— Et bien ? Je ne vais pas te manger ?
— Je n’en ai jamais vu de si beau, et surtout sans poils...
— Tu aimes ?
— Si j’aime ? Oh que oui... Je vais te laisser avant de devenir un lourdaud que ...