Claude-Marie: Cahier 4 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 4

... surtout spirituels voir oniriques sont constamment présent. Elle le méritait tellement après qu'on lui ait enlevé l'amour de sa vie, mon père.

La porte de sa chambre est ouverte, je m'en doutais, elle ne la ferme jamais telle une invitation permanente à aller la rejoindre. J'ai mon téléphone en main et je filme la scène discrètement pendant quelques minutes. Ma mère est avec un couple de jumeaux japonais qui sont de nouvelles recrues pour les confréries. Une jeune fille qui est actuellement entre les jambes de ma mère et un jeune homme très efféminé qui est les jambes de sa sœur. Quand j'ai vu le jeune homme la semaine dernière je croyais que les jumelles étaient deux filles. Je me vois corrigé ce soir. Je prends quelques photos de plus que je fais parvenir à Frédérique puis je retourne à ma chambre silencieusement.

Je repense à ce qui est arrivé à la suite de l'écriture du cahier qui est le lit. Après cette soirée, aucun homme ne m'a comblé comme mon grand maitre. J'ai eu mal au cul pendant plusieurs jours. Cela me rappelait mon maitre continuellement. Plusieurs fois, sa femme est venue au Spa où je continuais de travailler. Toutes les fois, elle prenait la chaine attachée à mon collier pour m'entrainer au milieu de salon où elle me faisait mettre à genoux. Et là, sans aucune pudeur, notre grand maitre me faisait invariablement cadeau de son jus devant toutes les employées et les clientes. Je devais simplement ouvrir la bouche, ne pas chercher à le toucher et accepter ...

... l'offrande qu'il me faisait.

Quand Max a quitté l'université en décembre 2002, sans le savoir il m'offrait ma liberté. J'ai changé de programme universitaire pour débuter un bac en psychologie à la suggestion de mon grand maitre. Mon arrivée dans le nouveau département fut remarquée. Entre le fait que j'étais l'ancienne copine du joueur vedette qui nous a fait gagner la coupe et une réputation de croqueuse d'hommes surfaite, toutes les filles étaient jalouses de moi ou me détestaient.

L'été suivant, Jessica m'a demandé de participer à une porno. Le producteur, bien connu pour ses tournages professionnels et la qualité du résultat qui lui a valu beaucoup de succès et de prix, n'avait jamais travaillé avec une fille comme moi. Je me souviens du scénario. La première scène je faisais l'amour avec une femme habillée en homme qui me retirait lentement une belle robe de mariée blanche. Il est sous-entendu que nous venons de nous marier. Dans la deuxième scène, la femme me guide dans le garage de l'hôtel qui a un aspect glauque. Elle me fait retirer mon trench pour découvrir que je ne porte que de très fins sous-vêtements. Quelques pas de plus et elle m'offre à quatre hommes qui me baisent puis éjaculent à tour de rôle sur mes seins. Puis la scène se termine avec la femme qui m'embrasse. Le tournage a duré la journée. Je n'aurais pas deviné tout le travail que cela représentait pour la petite équipe. Toute la journée j'ai été traité comme une princesse sous l'œil approbateur ...