Claude-Marie: Cahier 4 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 4

... de plaisir que je veux faire entendre. Je suis étonnée. Sarah me regarde comme un ange. Elle voit mon visage qui change, mais elle ne retire pas sa main.

-- Laissez-nous!

Sarah a un air contrit. Mathis ouvre sa main. Sarah abandonne mon poignet en premier et me fait signe de me taire. René et Jessica sont déjà debout. Sarah retire sa main de ma bouche. Je prends une grande inspiration. Les quatre s'en vont rapidement. Monsieur Joseph me maintient fermement contre la table avec une main dans mon cou. Sa queue est encore profondément ancrée dans mon cul. J'entends les portes se refermer.

-- Tu ne vas pas crier ma petite.

Je fais signe que non avec ma tête. Son ton est ferme.

-- Depuis le premier jour, j'attendais de te prendre. Ta mère t'a vendu à moi. Elle voulait tellement une fille. Elle s'est complètement avilie pour que j'accepte. Si tu savais les sacrifices qu'elle a faits pour que tu sois toi. Et toi... Tu voulais tellement devenir quelqu'un d'autre que tu ne voulais rien voir. Tu es une recrue unique pour mon culte.

Pendant qu'il parle, je le sens déplacer infiniment sa queue. Ces petits mouvements qui semblent anodins sont précis et me procurent beaucoup de plaisir qui se mélange à la douleur et forme un ensemble aphrodisiaque. Je me sens continuellement au bord du précipice.

-- Tu ne vas pas jouir sans en avoir la permission, ma petite pute, n'est-ce pas?

Je me mords les lèvres et je fais non de la tête. Il me soulève et il me fait tourner ...

... dans ses bras. Puis il me dépose sur le dos. Sa queue est toujours plantée en moi. Il caresse ma queue. Mes chevilles reposent sur ses épaules. Je le regarde dans les yeux. Il est en plain contrôle.

-- Il ne faut pas pleurer. Même quand tu jouis, il ne faut pas pleurer. Tu ne peux pas renier ce que tu es. Tu ne peux pas échapper à ta destinée. Tu ne le veux pas. Tu nous appartiens. Et c'est pour le mieux.

Il se recule et me donne un grand coup de boutoir qui me coupe le souffle.

-- Tous ces gens obéissent à mes ordres depuis des années. Je détiens tous leurs secrets. Ils ne peuvent m'échapper. Mais toi tu es différente. Tu es ici volontairement. Tu ne peux cacher ton excitation. Tu veux que je viole ton fondement. Écoute...

Il se tait. J'entends des cris et des gémissements.

-- Tous tes petits amis se font violer en ce moment. Tous se font violer leurs fondements. Des queues, des godes, et même des mains les violent. Garçons et filles. Ils ont atrocement mal. Tantôt, je vais les prendre comme toi un à un. Et quand j'aurai fini, ils devront recommencer entre eux. Tant qu'ils seront capables de continuer, ils vont se faire prendre. Aucun n'aura de plaisir ce soir. Aucun, sauf toi. Il marque une pause pour me donner deux autres coups de boutoir puissant en grognant sourdement.

-- Te souviens-tu de l'hôpital? Je t'ai offert ton premier orgasme de femelle à ton réveil.

Je le regarde. Je suis étonnée. Je me souviens d'avoir vu Nathan. C'est impossible. Mais c'est ...