1. Claude-Marie: Cahier 4


    Datte: 26/08/2018, Catégories: Transexuels Auteur: bylapassagere, Source: Literotica

    ... Je lève à nouveau les yeux. J'ai droit à plusieurs sourires. Quelques-uns sont angéliques, mais je vois aussi quelques-uns qui me semblent carrément carnassiers. J'offre un sourire gêné aux gens qui me regardent tout en observant en effet quelques verges bandées qui déforment l'avant de pantalons. Un des hommes a les mains dans ses poches et tient visiblement sa queue tuméfiée dans sa main. Je baisse les yeux. Je me sens rougir jusqu'au bout des oreilles.
    
    Le temps semble s'étirer. Cela doit faire dix minutes que la petite tète mon sein goulument et elle ne montre aucun signe de vouloir arrêter. Je sens mes cuisses mouillées. Chaque fois que je lève les yeux, je vois ces gens qui m'observent. Quelques-uns s'éloignent et disparaissent de mon champ de vision, mais ils sont toujours remplacés par d'autres. Celui qui se tient la queue à travers son pantalon est toujours là. Son pantalon est d'ailleurs taché maintenant. Il me donne la chair de poule, mais cela m'excite aussi.
    
    Il faut encore plusieurs minutes avant que je sente Léa ralentir le rythme de son suçotement. Elle m'a maintenu tout ce temps près de l'orgasme. Elle et les gens autour de moi. Je réalise que j'aime cette attention, j'aime être excitante. Je lève les yeux vers l'homme qui se tient la queue. Son visage est rouge. Je vois clairement son gland pousser contre son pantalon et le cercle foncé causé par son liquide préséminal. Lui aussi est près de l'orgasme. C'est visible. Je le regarde dans les yeux quand Léa ...
    ... abandonne mon sein et laisse un instant à la vue de tout mon mamelon gonflé. L'homme se retourne vivement et s'engouffre dans la foule pendant que je recouvre mon sein et place Léa en position pour lui faire faire un rôt qui vient rapidement.
    
    Je vois Marina qui s'approche au loin. Sa coiffure est défaite. Elle est souriante. Je réalise que sa robe blanche qui moule étroitement son corps est chiffonnée à sa taille. Ses collants opaques gris qui couvrent seuls le bas de son corps. Quand elle s'approche, je réalise que son collant est mouillé à son entre-jambes. C'est à la fois surréaliste, indécent et obscène. Elle me sourit et passe derrière le banc sans chercher à se cacher. Je la suis des yeux. Elle ne cesse de me sourire. Un sourire narquois.
    
    Arrivé derrière moi, elle caresse la tête de Léa qui s'est endormie dans mes bras sans dire un peu mot. Elle prend ma petite chaine et la tire. Je suis le mouvement de la chaine et je m'appuie le dos sur le banc. Je vois par son expression que ce n'est pas ce qu'elle désirait. Elle place une main sur mon front et l'autre dans mon cou et me fait pencher la tête vers l'arrière dans une position inconfortable. La main dans mon cou glisse jusqu'à mon menton. Elle place son pouce sur mes lèvres. Elle est penchée au-dessus de moi. Je la regarde directement dans les yeux. Elle regarde ma bouche.
    
    Elle appuie son pouce sur mes lèvres qu'elle me force à écarter. Puis elle appuie sur mes incisives et j'écarte les dents. Son pouce glisse ...
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