1. Hétéro, je me laisse tenter par un gay (2)


    Datte: 16/10/2022, Catégories: Gay Auteur: MonCanard, Source: Xstory

    ... impression de domination ne me déplaisait pas, bien au contraire.
    
    Tout à coup, un déferlement de jouissance monta du fond de mes entrailles et je lâchais dans le cul de mon partenaire de longues giclées de foutre. Mes derniers coups de semonce furent tellement puissants que mon partenaire fut déséquilibré et il se fracassa le nez contre la cuvette des chiottes. Quand mon vit retrouva l’air libre, de longues traînées blanches s’écoulèrent du trou du cul qui s’ouvrait sous mon nez. Nous prîmes deux minutes pour nous nettoyer conjointement. Le bout de ma queue fut essoré par une bouche avide de foutre, je lui rendis la pareille en léchant le sperme qui sortait de son cul.
    
    — Putain, ce fut bon, me dit-il. Il nous reste encore une semaine de cours et je te promets pour finir en beauté, un final en apothéose vendredi prochain.
    
    Chacun s’en retourna à ses occupations. Le soir dans mon lit, je tentais d’analyser la situation. Comment ce garçon avait-il réussi le tour de force de me faire apprécier ces pratiques qui ne me tentaient pas du tout il y avait encore quelques semaines ? De plus, j’en tirais un plaisir extrême. Je n’osais pas imaginer ce qu’il me préparait pour la semaine suivante.
    
    La semaine fut bien longue, le jeudi, mon partenaire ne fut pas présent aux cours. Est-ce qu’il en serait de même demain ? Je ne pus trouver le sommeil cette nuit-là et le lendemain matin, j’étais un peu raplapla quand le moment de partir en bus arriva. Je me posais plein de questions. ...
    ... Serait-il présent à 13H ? Tout mon corps l’espérait. La pendule semblait prendre plaisir à ralentir son décompte. Chaque heure étant plus longue que la précédente.
    
    Enfin, 13H arriva et ce fut presque en courant que je me rendis à mon rendez-vous. Les lieux semblaient déserts, pas un bruit. Tout à coup derrière moi, une porte s’ouvrit. Il était bien là mon partenaire, mais cette fois, c’est dans les toilettes pour handicapés qu’il me fit entrer. Ceux-là étaient bien plus grands. M’attirant vers lui, il me dit :
    
    — Cette fois, c’est à toi de me faire une pipe, si tu la fais bien, tu auras une belle récompense.
    
    Il fit descendre son pantalon et son slip. Et là devant moi se dressa une queue beaucoup plus impressionnante que la mienne. Quel calibre ! Le gland violacé pointait son nez vers moi. Pas trop longue, mais très épaisse, elle était parcourue par une grosse veine rougeâtre qui palpitait.
    
    Encore une fois, c’était un exercice que je n’avais jamais pratiqué. J’allais devoir prendre exemple sur le modèle qui m’avait procuré tant de jouissance. Je me mis à genoux devant le monstre. Je fis connaissance avec la « bête » en passant doucement ma langue du bas vers le haut puis en tournant autour du gland, j’enfonçais également ma langue dans la petite fente centrale. Ma main ne fut pas inutile pour maintenir en place ce gourdin. Je me décidais finalement à l’engloutir, non sans l’avoir bien lubrifiée avec ma salive.
    
    Ma bouche était à peine assez large pour faire entrer ...