Les vacances de Laure (4)
Datte: 14/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: M. de Seingalt, Source: Xstory
... montrer de si important. Elle n’eut pas longtemps à se poser la question.
Devant elle, couché nu sur le lit, sur le dos, bras et jambes écartées, Alain était plongé dans un sommeil manifestement profond. Constance, le visage hilare, murmura à Laure:
— Regarde, as-tu déjà vu un paquet comme celui-là?
Effectivement, entre les cuisses d’ouvreur du bordelais, reposait une paire de testicules impressionnants, surmontés d’un pénis qui ne paraissait pas très long, mais d’une épaisseur assez inhabituelle, même au repos.
Laure était aussi surprise que gênée que son amie l’ait invitée à venir jouer les voyeuses, mais avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit, Constance enchaîna:
— Hier, tu voulais m’emprunter mes jouets, tu te souviens. Je peux te dire que ce jouet-là, il y a vraiment de quoi s’amuser. Attends, je vais te montrer.
Et elle se mit à genoux à côté de l’homme endormi, et prit son pénis entre ses doigts.
— Constance, s’étouffa Laure, que fais-tu ?
— Ne t’inquiète pas, répondit celle-ci, il dort comme une souche. Hier soir, c’était pareil. Quand il s’est endormi, absolument rien n’aurait pu le réveiller. Je sais, parce que j’ai essayé pas mal de choses sans succès. Malheureusement d’ailleurs.
— Mais enfin Constance, tu ne trouves pas que c’est indiscret de me montrer tout ça derrière son dos ?
— Écoute ma chérie, d’abord ce n’est pas derrière son dos, mais devant. Ensuite, tu es ma meilleure amie, c’est l’été, je suis un tout petit peu ...
... ivre, je veux te montrer quelque chose qui vaut vraiment le coup d’œil, je t’assure. Amusons-nous un peu, nous y avons droit toi et moi, non ? Et puis cela ne fait de mal à personne. Plutôt le contraire, même. Maintenant, tu fais ce que tu veux. Si tu veux partir, pars, mais sinon, regarde !
Et sur ces mots, Constance ouvrit la bouche et y enfourna le sexe mou de son amant. Laure, fascinée, resta immobile. Constance suçait lentement la masse de chair, qui prit lentement du volume. Alain était toujours dans un sommeil profond, mais son sexe, lui, se réveillait manifestement.
Constance l’extirpa d’entre ses lèvres et se mit à le masturber lentement, en se tournant vers Laure avec un clin d’œil, en lui disant:
— Viens voir de plus près, mets-toi à côté de moi.
Puis elle replongea sur la verge qui continuait à gonfler.
Laure commençait à comprendre ce que Constance tenait à lui montrer. Alain avait un sexe pas très long, peut-être un chouïa en dessous de la moyenne, mais d’une épaisseur phénoménale. Assez vite, il prit tant de volume que Constance n’arriva plus à le prendre dans sa bouche, et dut se contenter d’en sucer l’extrémité du gland, ou de parcourir la courte hampe de sa langue.
— Essaie, toi, dit-elle à Laure, essaie de le sucer, qu’on voit si tu y arrives.
— Es-tu sûre ? demanda celle-ci, un peu incertaine encore.
— Vas-y, c’est moi qui te le demande ma chérie. Et puis, avec ton mari en vadrouille, ça fait combien de temps que tu n’as pas sucé de ...