1. Les études d'Alex (4)


    Datte: 13/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: cmfanfan, Source: Xstory

    ... Mademoiselle Gelin, nous ne sommes pas mariés encore. Mais tu peux m’appeler Élodie.
    
    — Oui, répondis-je avec une hésitation dans la voix et un peu perdue dans son insistance à savoir qu’elle n’était pas mariée.
    
    — Tu as besoin de quelque chose ?
    
    — J’ai un colis pour vous. Je l’ai récupéré auprès du facteur.
    
    — Entre, dit-elle en s’éloignant dans son appartement. Tu peux le poser sur la table du salon. Je me préparais un café. Tu en veux un ?
    
    Je la suivis comme un robot et m’enfonçai dans son appartement, laissant la porte ouverte. Je suivis ses consignes et déposai le paquet puis je me dirigeai vers la cuisine où Élodie était en train de sortir une tasse en plus de la sienne.
    
    — Je ne suis pas fan des capsules et des trucs du genre, me dit-elle pour entamer la conversation. Trop de déchets, pas écolo. Matthieu se moque de moi et me traite de bobo, mais bon...
    
    — Je suis étudiant, pour moi du moment que j’ai un café... après la façon dont il fait, tout me va, seule la caféine compte.
    
    J’eus un doute concernant ma blague sur les étudiants et le café. Je n’arrêtais pas de me prendre les pieds dedans et de me mélanger les idées. Elle sourit, mais j’ai l’impression que c’était plus par pitié.
    
    Il faut dire que je la trouvais terriblement sexy dans son tailleur constitué d’une veste et d’une jupe. Un chemisier blanc un peu transparent complète l’ensemble. Élodie devait avoir une belle poitrine, environ 90C qui ne demandait qu’à ce que le bouton de la veste ...
    ... s’ouvre pour s’épanouir. J’imaginai ses seins bien ronds.
    
    — Tu vas bien, me demande-t-elle en voyant que je suis perdu dans mes pensées.
    
    Élodie eut un sourire comme si elle savait exactement à quoi je pensais. La bosse qui déformait mon pantalon en était un des signes d’ailleurs.
    
    Elle me tendit mon café que je saisis. Mais au lieu de le lâcher quand je ramenais la tasse vers moi, elle maintena sa prise et s’avança vers moi pour ne plus être qu’à 30 centimètres de moi.
    
    — Fais attention, il est chaud...
    
    Elle me regardait dans les yeux. Je ne doutais pas que cette phrase avait un message, mais je ne pouvais y croire.
    
    — Un peu comme toi...
    
    Il y avait bel et bien un message. Je ne savais que faire. Elle se rapprocha de moi jusqu’à ce que ses lèvres puissent murmurer à mon oreille :
    
    — Avec ces jolies filles qui défilent chez toi et qui ne laissent pas Matthieu indifférent...
    
    En disant cela, je sentis sa cuisse faire pression sur mon sexe en érection.
    
    — Il aimerait bien être à ta place.
    
    Elle frotta sa cuisse, je sentis son parfum. Elle déboutonna sa veste. J’étais contre le plan de travail et ne pouvais pas reculer.
    
    — Et moi à leur place quand je les entends jouir...
    
    Je n’en pouvais plus. Je la repoussai légèrement et sans grande conviction à un mètre de moi. Élodie me regarda droit dans les yeux en se mordant la lèvre inférieure avec un sourire coquin. Je pouvais partir, m’enfuir, mais en avais-je envie ? Elle se rapprocha de moi :
    
    — Le café va ...