Le passé de John (6) - Histoires de Sexe

Le passé de John (6)

A mon grand étonnement, Baptiste est encore très vigoureux et de plus : il est avide. Je comprends à son regard qu’il me désire réellement, qu’il est excité par ma personne, alors que dans mon cas c’est plus la situation qui m’excite.

— Tu suces super bien John, j’adore !

— C’est vrai, tu trouves ?

— Oh que oui ! dit-il en me caressant le visage.

Il me fait m’allonger sur le dos comme la dernière fois et me saisit par les jambes pour bloquer mes pieds sur ses épaules.

C’est une position que j’aimais particulièrement quand je prenais Justine. Sauf que c’était moi ce jour-là qui étais pris.

Il retire mon plug, amène sa bouche et me lèche l’anus avec beaucoup d’entrain et d’application. Il vient laquer ma rondelle d’une noisette de gel avant de me fourrer avec son index. Mon cul s’ouvre comme une fleur au soleil. Il est tendre et ses doigts sont experts, avec deux il me fait déjà vibrer en caressant ma prostate avec dextérité. De son autre main, il me caresse sensuellement la verge. Puis, il se redresse et présente à l’entrée de ma grotte sa turgescente virilité. Il fait entrer doucement sa lame encore baveuse grâce à mes soins dans mon séant. Il entre sans mal, mais la sensation n’a rien à voir avec la dernière fois. Le plastique étant absent je peux sentir l’effet de ses grosses veines gonflées contre mes parois sensibles ainsi que la chaleur qui se dégage de son arme chargée.

— Oh putain !

— Tu as quelque chose à dire John ! demande Justine.

— Oh ...

... oui maîtresse ! gémis-je

— Je t’écoute.

— C’est trop bon comme sensation, gémis-je à nouveau alors que les mouvements de Baptiste s’accélèrent.

— Tu en veux plus ?

— Oh oui !

— Tu sais ce qu’il faut dire alors. Baptiste t’écoute.

— Baise-moi ! S’il te plait, baise-moi ! Je veux crier comme une salope sous tes coups !

Justine voulait que je lui dise souvent lorsque nous étions ensemble et c’est ce qu’elle voulait m’entendre dire maintenant. Mais j’aimais le regard qu’elle avait en nous regardant copuler devant elle et je voulais lui insuffler plus de désir encore dans les yeux.

Du bout des doigts je le chasse de mon antre, le temps de pivoter et de me mettre à quatre pattes, cambré et offert à un nouvel assaut furieux de sa part. Je fais face à ma maîtresse allongée maintenant et je la regarde droit dans les yeux pour lui montrer ce que je peux faire, que j’ai bien retenu sa formation. Ma personnalité s’efface peu à peu et je prends les devants, comme elle le fait parfois avec moi. Alors qu’il plaque son soldat joufflu sur ma rondelle, je le pousse à franchir mon muscle qui s’est refermé, dans un coup de rein violent en arrière et je me retrouve empalé. Sous l’effet incroyable de son gourdin, je fléchis les bras et tombe en avant sur le lit dans un gémissement profond et long. Je suis au bord de l’extase. Je me redresse et me cambre, il me saisit les cheveux et commence à me pilonner. Plus il envahit mes terres, plus j’ai l’impression que son sexe grossit ...