Mon Cousin, mon amant (2)
Datte: 13/10/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... petite pute comme tu baises. Viens dans la chambre !
Sans me laisser le choix, il me quitte, va sur le lit et se met à quatre pattes en cambrant les reins les cuisses écartées, face au miroir, me regardant et souriant.
Je me mets à la hauteur de ses reins, sur le côté. Je prends en main sa queue bandée comme celle d’un chien sorti de son fourreau de poil, je le masturbe énergiquement comme un animal, lui caresse les fesses et brutalement les claque avec force pour reprendre une caresse en rond comme pour adoucir la brûlure et je recommence.
Dom accompagne chaque claque d’un « Han ! », puis de ses deux mains, il écarte son cul. Je me positionne face à ses fesses rougies de ma fessée, son anus est rouge, violacé et très dilaté.
Mes mains rejoignent les siennes et ma langue se plante directement dans son cul en s’enfonçant facilement. Je le titille, ressors, lèche la rondelle, reviens à son anus jusqu’à ce que mon cousin me lance des signes d’excitation de son bassin.
En réponse, je lui lance deux claques aussi fortes que sonnantes, l’empreinte de mes doigts s’imprime rouge sur ses fesses déjà bien roses. Enfin, je lui donne satisfaction. Je me relève de mes talons, prends ma bite qui semble exploser, la place au centre de son anus, me rapproche le plus possible de lui, il me regarde dans le miroir, je le regarde et mes mains posées sur ses hanches :
— Viens John, baise-moi ! Viens maintenant.
Sans aucune résistance de sa part, je le pénètre d’un coup ...
... jusqu’à ce que mon ventre soit arrêté par ses fesses. Je suis entièrement en lui. Je découvre la sensation de ce fourreau chaud, doux, m’enveloppant de toutes parts avec une délicieuse pression qui me fait ressentir toutes les contractions de ma bite.
Lui contracte et relâche sa caverne qui me procure un délicieux massage. Je commence un lent balancement d’avant en arrière, l’anus presse ma bite, je bouge librement dans ce fourreau. Je me branle dans son cul, la sensation est non comparable à celle d’une main. Ce fourreau est souple, il masse le sexe sur toute sa longueur. C’est bon, c’est chaud, c’est humide, je sens que c’est de plus en plus mouillé, c’est moelleux ... je vais d’avant en arrière entre ses reins au rythme qui me plaît, lent, rapide, court, long, je prends beaucoup de plaisir, ferme les yeux pour mieux me concentrer, je sens que ma jouissance monte, je ne veux pas, pas tout de suite, je m’immobilise.
Je me couche sur le dos de Dom dont la poitrine repose sur le lit, tellement ses reins sont cambrés. Mes deux mains font le tour de sa poitrine et je me saisis de sa bite, je veux le faire jouir maintenant sans précaution, mes mains sont violentes, elles tirent jusqu’à la base du pubis toute la peau, je veux lui déchirer les derniers points de son frein, et le branle fort, j’entends sa respiration s’accélérer. D’une main, j’atteins ses couilles, elles pendent légèrement, je les tourne sur elles-mêmes comme on fait d’un fruit qu’on veut cueillir, je sens sa bite ...