Excitée par une visite chez le kiné - Histoires de Sexe

Excitée par une visite chez le kiné

... vu des fesses.

Ma petite femme était bien les yeux clos, pas de bruit.

À son retour :

— Me voici, ça va, c’est refroidi

Il a ôté la compresse et :

— Tournez-vous, et couchez-vous sur le dos…

Elle a dit « oups » et s’est exécutée, prenant garde de se couvrir le pubis avec la serviette.

Elle serrait les jambes, bien étendues, je voyais le début de sa petite chatte… belle petite ligne bien nette de son charmant entrejambe.

Continuant sa séance de soins, le kiné lui a fait fléchir les jambes, puis jambe après jambe, il les faisait étendre puis redresser sur la poitrine. Ma petite chérie se mordait un peu la lèvre inférieure et me regardait, évaluant ma réaction.

La serviette devenait désuète

Je voyais les yeux du kiné qui allaient vers sa chatte totalement épilée. Avec les mouvements, les lèvres s’ouvraient et j’ai remarqué qu’elle mouillait. En a-t-il fait plus que ce qu’il devait, je ne sais pas, mais les mouvements me paraissaient bien longs. Les soins finis, on est sortis…

J’ai dit :

— Ça va ?

Réponse spontanée :

— Oui, euh non. Viens, on va entrer dans le bois.

Ce qu’on a fait…

Le cabinet est situé dans un domaine résidentiel portant le nom de « bois de l’abbaye ». Un très bel endroit où je croyais qu’elle voulait se promener.

Malgré l’heure (après-midi), elle m’a très vite mené vers un buisson, disant :

— Je n’en peux plus. Tu dois me baiser vite.

Elle s’est dépêchée de détacher ma ceinture et m’a demandé :

— ...

... Prends-moi, baise-moi fort ici. Encule-moi, je veux te sentir dans moi.

J’ai baissé mon pantalon, et elle s’est tournée remontant sa jupe au-dessus de la taille et s’est penchée.

— Mets ta queue dans ma chatte et prends la mouille, vite, et encule-moi.

Ma queue à peine dressée s’enfonça dans sa chatte résolument trempée. J’ai donné deux trois mouvements de va-et-vient puis j’ai été obligé d’arrêter. Déjà elle avait éjecté mon sexe sans changer de position.

— Allez, viens vite. C’est assez. Défonce-moi le cul.

Je l’avais donc à peine pénétrée dans la chatte qu’elle la voulait dans son cul.

Je n’allais pas assez vite, elle suppliait

— Allez, mets-la dans mon cul, et bourre-le, défonce-le.

Elle écartait ses fesses. Elle poussait et retirait son anus, tout sec, façon d’appeler ma queue en elle. Ses jolies fesses bien rondes, sa jupe troussée, j’étais excité. Ses propos me commandaient de la prendre violemment, ce qui n’était pas pour me déplaire, je l’avoue.

Cette fois, j’ai placé mon gland contre son petit trou, j’ai tenu une de ses épaules et je l’ai sodomisée d’un coup. Ma queue est entrée jusqu’aux couilles, je l’ai enfoncée sans ménagement, sans hésiter bien profondément.

— Salaud, tu profites. Va à fond. Oui, fais-moi mal… allez fais-moi encore plus mal. Cogne à fond.

Elle a arraché son soutien vers le haut, faisant balancer ses seins.

— Attrape mes seins et fais mal. Écrase, pince, tire, frappe, tords-les, mais fais-moi mal.

J’ai empoigné ...