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Mes premières fois: Christine (1)
Datte: 11/10/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: Kes_paris011, Source: Xstory
... obstacle pour y insérer son index et son majeur. Je sentais la pulpe de ses doigts frotter la paroi intérieure de mon vagin. Je crus mourir de volupté d’autant plus que la belle black accéléra rapidement son mouvement de piston. — Ho putain de putain! Qu’est-ce que tu me fais? Sa bouche toujours sur mon clito, elle me répondit mais, bien entendu, ce fut incompréhensible. Je lui criais: — T’arrête pas! T’arrête pas! T’arrête pas! Elle ne s’arrêta pas. Cela dura encore cinq bonnes minutes. J’eus l’impression que ma chatoune allait se détacher de mon corps. Mon esprit l’était déjà. J’avais fermé mes yeux ou peut-être étaient-ils révulsés. J’étais incapable de formuler une phrase. — Oui hooooooo oui oui oui oui oui ouiiiiiiiiii. Haaaaaaaaa oui. Haaaaaaaaaaaa. Hmmmmmmm. Christine s’arrêta subitement. Je crus que c’était fini lorsque je sentis ses doigts sortir doucement de mon vagin mais elle les fit glisser vers le bas et repositionna l’index sur mon orifice anal. Elle caressa le pourtour, posa sa bouche dessus pour l’humidifier de salive et enfin glissa le doigt à l’intérieur. Je sentis son ongle mais je n’en souffris pas. Sentant que je n’étais pas incommodée, elle le fit ressortir pour y joindre son majeur et me pénétrer avec ses deux doigts. ...
... J’avais basculé mes hanches pour faciliter la pénétration et je tenais mes jambes sous le pli des genoux, les pieds en l’air. Christine toujours à genoux positionna son corps sur ma droite. Elle posa ses lèvres sur mon clito et recommença le mouvement de piston avec sa main droite. Ces sensations divines me firent grimper quatre à quatre, l’échelle de l’orgasme. Je crois que ce fut très rapide. J’étais secouée de toute part d’avant en arrière. Je sentais même mes seins pourtant pas très gros, tressauter au rythme du piston. Mes poumons se sont vidés dans un haaaaa de plus en plus aigu. Et lorsque mon orgasme démarra, je sentis les lèvres de Christine quitter mon clito tout en continuant à me pistonner de ses doigts. Lorsque cambrée à m’en plier la colonne, j’atteins le paroxysme de mon orgasme, j’entendis distinctement ma belle black dire: — Jouis, ma petite pute! Je fus prise d’une série de spasmes incroyables comme si mon corps ne m’appartenait plus. Les doigts de Catherine avaient été expulsés et elle ne me tenait plus. Mon corps était toujours secoué de spasmes qui finirent par se calmer et bientôt seules mes cuisses eurent leurs propres autonomies traversées comme par des décharges électriques. — Ben dis donc! Quand tu jouis, tu ne fais pas semblant.