Fantasme... rêve et réalité... elle
Datte: 11/10/2022,
Catégories:
f,
fh,
couplus,
extracon,
cocus,
inconnu,
vacances,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
extraconj,
candaul,
Auteur: Oldtimesfriend, Source: Revebebe
... assourdissante, il y a du monde, mais ce n’est pas bondé.
On s’installe à une table, on commande à boire, et il ne se passe pas cinq minutes avant que Flo ne se fasse inviter à danser par un jeune homme.
Et je le vois.
Il n’est pas loin, me regarde avec insistance, il est avec un groupe de jeunes hommes et filles qui parlent bruyamment. Ce ne sont pas des touristes, ils parlent catalan, ce doit être des habitués. Il me sourit, je fais mine de ne pas le voir, mais c’est plus fort que moi.
Dieu ce qu’il est beau !
Vingt-cinq ans maximum, un regard ténébreux et pénétrant, grand,a priori musclé et costaud, très brun, bronzé, cheveux courts, barbe naissante… mon fantasme en chair et en os…
Flo revient dégoulinante de transpiration, comme tout le monde d’ailleurs.
Je lui montre discrètement le jeune homme.
— Go, me dit-elle. Allez, vas-y, va lui parler, c’est le moment, crois-moi, ne faut pas laisser passer le train !
Et elle se lève, va vers le bar, nous recommande à boire. Comme par hasard, elle s’y glisse juste au niveau de ma « proie ». En attendant, avec son culot naturel, elle regarde le jeune homme et se met à lui parler… en français, j’imagine, vu qu’elle parle très mal espagnol… L’homme la regarde avec étonnement et un sourire, et elle lui fait signe de la main de la suivre.
Elle se dirige vers moi, le garçon la suit…
— Peux-tu dire à ce jeune homme, qui ne me comprend pas, que tu aimerais qu’il te saute ?
Je rougis instantanément, ...
... éclate de rire, le garçon ne comprend pas trop où il est tombé.
Je lui explique, dans mon espagnol parfait (eh oui, ça aide, les études de langue) que ma copine est saoule, qu’on s’ennuie un petit peu et d’autres banalités. Il ne se fait pas prier pour s’installer avec nous… enfin avec moi, car Flo est repartie directement sur la piste de danse, en chasse…
Et voilà comment je me retrouve à papoter avec un Apollon espagnol, prête à me laisser butiner, voire plus, le tout avec l’assentiment de mon mari, qui ne manque pas une occasion à chaque SMS de m’encourager.
Il me dévore de ses grands yeux foncés, un regard pénétrant, il est excessivement beau, des lèvres charnues, une voix sensuelle, un accent catalan que je trouve particulièrement érotique. L’alcool aidant, je me trouve particulièrement désinhibée, et je réponds avec arrogance à ses regards provocants… Je pense que, comme le dit Paul avec une élégance discutable, à ce moment-là, j’ai les yeux qui sentent le cul.
Après tout, c’est moi la chasseresse, c’est moi la femme mûre, et ce n’est pas un gamin de vingt-cinq ans, si beau soit-il, qui va dicter sa loi… Tu veux jouer, si Paul veut jouer, eh bien jouons, laissons parler la chienne en moi.
Il m’allume, je l’allume, il me chauffe, je le chauffe.
Il me propose de danser, mais la salsa et moi, ça fait deux… il m’entraîne malgré mes réticences et plaque son corps contre le mien, place sa main dans mon dos, juste au-dessus de mes fesses et me demande de le ...