Ötzi - Histoires de Sexe

Ötzi

... m’invite dans ses soirées type beuverie, hydromel, bière, pièce de viande. On s’amuse à voir des saltimbanques, des danseuses. J’imagine bien des choses avec elles.

Après ma discussion avec Klir, je lui reportai notre entretien.

— De quoi se mêle-t-il ? Je l’ai couvert de bienfaits pour les quelques faveurs qu’il m’a accordées. L’ingrat !
— Seigneur, de quelles faveurs il s’agissait ?
— Voilà, je n’aime pas les femmes et j’aime la compagnie virile de mes amis. La reine est sa sœur et elle s’est plainte probablement de mon manque d’enthousiasme. Au fait, toi comment c’est avec les hommes et les femelles ? Tu aimes leur commerce ?
— Je ne sais pas trop, la seule fois où j’ai un peu essayé, j’ai failli me faire tuer par le roi, son père.
— Ouille ! C’est que tu visais haut !
— Moi pas trop, mais c’est elle qui visait plutôt bas. Elle s’ennuyait et n’avait pas envie de commencer avec un vieux, elle parlait d’amour. On s’était déjà dénudés et on se caressait, mais on n’a pas fait plus, parce qu’à ce moment-là, l’eunuque nous a surpris. Je pense que ce n’est qu’à cause de mon père que je n’ai pas passé à la trappe.
— Dis-moi, tu aimerais essayer ?
— Bien oui, mais je n’ai pas envie d’avoir quelqu’un de collant derrière moi, ni de me faire estropier, ni d’assumer un éventuel rejeton.
— Rassure-toi, je peux t’assurer que pour la première solution, tu ne risques rien et pour la deuxième, si je te le demande, il n’y a pas de danger et pour la troisième, je peux te ...

... montrer comment faire. Cela te sera utile dans la vie et cela me fera plaisir.
— Je veux bien essayer, mais je suis curieux de savoir qui et comment !
— Qui, c’est pas difficile, c’est la reine, tu me rendrais service en calmant ses ardeurs, ardeurs dont j’ai horreur et en évitant qu’un rival en profite. Tu es joli comme un cœur, cela ne devrait pas être trop difficile. Quant à comment, viens dans ma couche ce soir, je te montrerai, mais avant de venir, passe dans les cuisines pour demander un pot de saindoux, justement pris de la laie que tu as tuée.

Le soir, après avoir pris un pot de saindoux, il va sous la tente du roi qu’il retrouve nu comme un ver et le sceptre bien dressé.

— Mets-toi aussi nu pour que je te montre comment faire.

Sans trop de méfiance, il se déshabille et vient retrouver le roi qui le prend dans ses bras.

— Tu es bien musclé, c’est agréable de caresser ta peau, il n’y a pas de graisse superflue, tes jambes sont tellement musclées. Tiens ! Cela t’excite quand je te caresse les cuisses, tu as une belle tige et bien tendue elle est très agréable à agiter. Je peux ?
— Oui, c’est bon, ma princesse aussi me faisait ça, même qu’elle me donnait des baisers dessus !

Se penchant sur le sexe de son favori, il le prend dans sa bouche et commence à le sucer avidement.

— Comme cela qu’elle faisait ?
— Non, moins bien, elle, c’était juste un petit bisou. C’est bon, mais je me sens tout drôle, comme les nuits sans lune où je retrouve ma couche ...