1. Les yeux de chat


    Datte: 07/10/2022, Catégories: fh, fff, fbi, couple, bateau, douche, caresses, intermast, Oral pénétratio, bisex, Auteur: Birdies, Source: Revebebe

    ... captait toute mon attention. Il me paralysait. Quel contraste avec son sourire juvénile doux que soulignaient ses lèvres fines. Il me semblait sentir mon sexe réagir.
    
    C’est le moment que choisit Audrey pour m’entraîner.
    
    — Viens, j’ai besoin de toi. J’ai acheté une robe pour le mariage de mon filleul et je voudrais ton avis sur mon choix.
    
    Sur son lit, une belle robe fauve.
    
    Elle ferma aussitôt la porte de la chambre, geste qui me surprit un peu.
    
    Aussitôt elle glissa hors de son jean, son chemisier coula de ses épaules et la voilà en string. Mon pouls s’affola. Avec grâce, elle leva les pieds, monta la robe. Une forme droite, dos très dégagé mettant en valeur son physique longiligne. Je fixai sa poitrine si fine dont je vis les bouts tendus. Elle se tourna et me demanda :
    
    — Tu peux me monter la fermeture.
    
    Me voilà empruntée, hésitante, sans raison. Remontant la fermeture, ma main glissa sur son dos. Je sentis aussitôt Audrey se raidir imperceptiblement. La vision de sa chute sur le bateau tournait alors dans ma tête tel un ralenti de cinéma.
    
    Je bredouillai :
    
    — Tu es splendide, elle te va à merveille.
    
    Avec grâce, elle fit quelques pas, se retourna, me fit face, ses yeux dans les miens, son regard envoûtant me transperçait. Je tremblais, l’humidité envahit mon sexe.
    
    — Merci, je savais que tu avais bon goût.
    
    Avec la rapidité d’un félin, elle déposa un baiser langoureux sur mes lèvres, me laissant pantois et sans réaction.
    
    — Mardi, je dois ...
    ... me trouver des chaussures, tu m’accompagnes ?
    — Oui, dis-je presque inaudible.
    
    Nous avons retrouvé la joyeuse troupe, toujours dans leurs discussions aussi improbables que décousues. Il était temps de siffler la fin du match. La sagesse m’imposa de conduire pour le retour. Une excitation latente me gagnait. Je posai ma main droite sur la cuisse de Gael, je caressai son sexe à travers le tissu. La fermeté se fit aussitôt sentir. Je glissai ma main dans l’ouverture de son pantalon et pris possession de son sexe. Conduisant d’une main, je le branlais de l’autre. Sa main se faufila sous ma robe, investissant mon sexe qu’il trouva dans un état proche de l’inondation. Ses doigts me pénétrèrent, me fouillèrent et provoquèrent un orgasme qui nécessita l’arrêt immédiat de la voiture. J’enjambai la console centrale et vins m’empaler sur son sexe, bien dur malgré une forte inhibition alcoolique. Nous voilà comme deux collégiens dans une étreinte sauvage. Je me libérai de ma frustration, je montais et descendais augmentant le rythme jusqu’à sentir la douce et chaude coulée de sa libération. Nous avons repris notre chemin inconscient de cet intermède nocturne, en milieu urbain.
    
    Mardi vers 13 heures, je sonnai chez Audrey, un peu inquiète, sans trop savoir de quoi serait faite la suite de cette journée. Je me mis en mode débranché, dans une bulle. La porte s’ouvrit sur une Audrey souriante, vêtue d’un simple T-shirt.
    
    — Tu n’es pas prête ?
    
    Sans un mot, elle se colla à moi, ...
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